Cette terrible histoire se déroule en Angleterre d’un temps d’Elizabeth première. Une jeune femme aurait été assassinée et son esprit hanterait encore son ancienne demeure…



Anne Griffith vivant à Burton. En revenant à pied chez elle d’un village voisin Anne aurait rencontré deux hommes près de chez elle. Les deux personnages lui auraient demandé de l’argent. Quand elle ouvrit son sac pour leur donnée un peu d’argent, les deux hommes virent ses bijoux. Elle ne se laissa pas faire et les deux bandits la battirent avec un gourdin avant de s’enfuir avec leur butin.

Anne a réussi à parcourir la distance jusqu’à la porte de sa maison où elle a été trouvée par un domestique. Elle a été emmenée dans sa famille, mais a été si gravement blessée qu’elle est décédée des suites de ses blessures quelques heures plus tard. Mais avant de mourir, elle a fait une bien étrange supplique. 

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Elle a demandé que sa tête soit enlevée de son corps et qu’elle reste à l’intérieur de la maison, sinon des choses terribles se produiraient. Ne voulant pas exécuter la demande inhabituelle, sa famille a enterré la jeune fille dans le cimetière de l’église voisine le lendemain.

Le soir de ses funérailles, alors que tout le monde était allé se coucher, d’étranges bruits de gémissements et de claquements de portes ont retenu tout le monde toute la nuit. Ces surprenants phénomènes durèrent trois jours.

Finalement, la famille décida d’exhumer le corps. Quand sa tombe fut ouverte, on découvrit son crâne entièrement dépecé. Il semblait sourire. On enleva sa tête et on la plaça dans une boite dans la maison. Les phénomènes paranormaux qui se déroulaient dans la maison cessèrent. 

Quelques années plus tard, lorsqu’une nouvelle famille a emménagé dans la maison, une boîte contenant le crâne d’Anne a été trouvée et une femme de chambre l’a jetée dans un chariot contenant des déchets. Les chevaux tirant la charrette ne bougeaient plus et se sont mis à trembler de peur. Dans la maison, les tableaux des murs tombèrent et les chevaux restèrent pétrifiés jusqu’à ce que le crâne soit enlevé du chariot et remis dans la maison…

Lorsque les villageois locaux ont informé le nouveau propriétaire de la légende du crâne souriant et de la mort d’Anne, le crâne a été maçonné dans un mur à l’intérieur de la maison afin qu’il ne puisse jamais être enlevé.


Bien que personne ne connaisse l’emplacement exact du crâne, la légende raconte que le crâne a été enterré dans le mur derrière la photo d’Anne sur l’escalier principal.

Chaque année, à l’occasion de l’anniversaire de sa mort, on peut voir le fantôme d’Anne émerger de l’image, flotter dans l’escalier, à travers la maison, puis dans une ruelle derrière la maison où elle disparaît.