Cette horrible histoire se déroule en novembre 1901, Madame Bobbin qui revenait Sénégal décéda de la fièvre jaune, mais ce n’est pas ce qui fut de plus déroutant…



Le 16 novembre, 1901 une certaine Madame Bobin qui revenait du Sénégal arriva à Poyak. Elle était malade et quelque temps plus tard, lorsqu’elle fut examinée par les médecins, le corps de la femme semblait déjà raide, et sa peau prit une teinte grisâtre. 

La femme était enceinte depuis plusieurs mois et l’infirmière, après examen, a même pensé que l’enfant dans le ventre de la défunte bougeait. Cependant, le médecin n’a pas confirmé le fait que le fœtus était en vie a signé des documents sur le décès de la pauvre femme.

Néanmoins, l’infirmière était sûre de ce qu’elle avait ressenti et elle commença à être tourmentée de peur que l’enfant était toujours en vie. Au bout d’un certain temps, elle se décida et vint voir le père de Madame Bobin pour lui faire part de ses doutes.

Le père de la femme enterrée a immédiatement ordonné de creuser sa tombe et était présent à ce moment terrifiant. Lorsque le cercueil a été ouvert, il était en état de choc lorsqu’il a vu à l’intérieur du cercueil le cadavre d’un bébé avec un cordon ombilical non coupé qui reposait entre les jambes de sa fille.

Il s’est avéré que Madame Bobin n’était pas vraiment morte, mais qu’elle était seulement tombée dans un coma profond et qu’elle n’avait pas la fièvre jaune, mais une autre maladie.

Ayant repris conscience dans un cercueil, elle a connu une naissance prématurée, mais elle et le bébé sont morts rapidement, étouffés dans un cercueil…