La triste histoire de Joseph Carey Merrick…

Nous sommes en 1862, le 5 aout où arriva la naissance de Joseph Carey Merrick. Il est né en Angleterre à Leicester, au numéros 50 de la Rue Lee.

Dès sa petite enfance avant même qu’il ait atteint sa deuxième année, il commence à développer des tumeurs sur son visage. Progressivement la situation empira, des sortes de bulbes apparurent sur son front son corps, et son bras droit grossit et deviens pratiquement inutilisable. En grandissant il prit progressivement conscience de son état, il eut du mal à avoir des relations avec les gens, la plupart des gens le fuyait, et le jeune Joseph se réfugia dans son imagination… Il restera toute sa vie plutôt solitaire.

Sa famille déménagea à plusieurs reprises. Et vers 1875 il commença à travailler tant que son état lui permettait encore de pouvoir le faire. Il commença dans une fabrique de cigare, ensuite comme vendeur et enfin chez un barbier tout cela entre 1875 et 1877. Il continua à travailler allant de petit job en petit job… La plupart du temps il était sans emploi, son aspect, ses problèmes de bras l’empêchant de suivre une activité traditionnelle. Son état s’aggrave au court des années, il commencera à se couvrir le visage à cette époque…. Courant 1882 il alla à l’hôpital de Leicester pour se faire opérer de la lèvre supérieure afin de se faire enlever une protubérance.

Fin de l’été 1884 il commencera à être exhibé comme créature de foire à Londres par Tom Norman qui lui servira de manager, Joseph racontera qu’il était mal traité et battue pendant toute cette période. A la fin de cette année-là, le docteur Treves rencontra Joseph au 123 Whitechapel Road. Il décida de l’emmener à la société de pathologie de Londres en décembre, le 2, car il trouvait que le cas de Merrick était très intéressant. Il le représentera le 17 mars 1885, mais sans la présence de Joseph. Treves perdra Joseph de vu, car celui-ci sera enlever en Belgique. Il le retrouvera en juin 1886, en était de malnutrition et ayant une bronchite. Il sera admis à l’hôpital de WhiteChapel. Le docteur Treves réussi à le faire admettre comme occupant permanent de l’hôpital. Treves commença à étudier le cas de Joseph et ils commencèrent tous deux à se faire connaitre. De nombreux philanthropes de des gens fortuné partout dans l’Europe donnèrent de l’assistance, de l’argent et de quoi subvenir à ses besoins. Il restera à l’hôpital tout le reste de sa vie. Le principal problème pour Joseph était qu’il avait du mal à parler à cause de sa bouche, et une des rares personne à le comprendre était Treves.

Les années passent, son corps deviens de plus en plus difforme, son mal progressait de plus en plus vite. De nombreuses photo seront prisent. Il partit en vacances en 1889 à plusieurs reprisent à Fawaley Park. En avril 1890 il mourut d’asphyxie dans sa chambre d’hôpital. Certain pense qu’il se serait laisser mourir en dormant sur le dos alors qu’il ne pouvait pas au risque de mourir…

Il vécut presque toute sa vie dans la souffrance, aussi bien physique que morale. On ne sait peu de chose de sa maladie, aujourd’hui on pense qu’il était atteint du syndrome de Protée, pour d’autre il s’agirait de la neurofibromatose. Mais beaucoup de chercheur pense que c’était une variante, ou bien qu’il fût atteint de plusieurs maladie ayant déformer aussi bien son corps que sa peau. Aujourd’hui on aurait sans doute pu l’aider, ou du moins réduire toute l’horreur physique qu’il était atteint, mais on n’aurait sans doute pas pu réduire la souffrance morale qui devait ressentir.

Sous son apparence horrible se cachait quelqu’un de formidable qui nous a laisser des poèmes et le récit de sa vie et un beau message d’espoir…

Un poème de Joseph Merrick…

’Tis true, my form is something odd

but blaming me, is blaming God,

Could I create myself anew

I would not fail in pleasing you.

If I could reach from pole to pole

or grasp the ocean with a span,

I would be measured by the soul

The mind’s the standard of the Man.