En 2011, un soldat américain qui se trouvait dans la province afghane d’Helmand aurait fait une effrayante rencontre…
Le soldat raconte qu’il était en patrouille avec une unité de huit personnes. Il se trouvait à ce moment-là dans un petit locale protégé avec des vitres pare-balles et des sacs de sable posé autour. À ce moment-là, je n’avais pas dormi depuis environ 24 heures et grâce à mon dispositif de vision nocturne, j’avais déjà commencé à voir des hallucinations sous la forme d’images floues d’autobus scolaires et autres. Soudain, il raconte avoir entendu un bruit d’impacte.
Il a cru au départ qu’il s’agissait d’une balle, mais il s’est rendu compte qu’il s’agissait simplement d’une pierre. Il a regarder autour a l’aide de sa vision nocturne mais il n’y avait rien. La chose la plus étrange était que notre poste était en outre entouré de doubles barbelés torsadés de 30 mètres autour du périmètre, et derrière lui, il y avait un champ ouvert sur environ 30 mètres. Difficile de croire que quelqu’un ait pu lancer une pierre aussi loin.
Il a appelé ses supérieurs afin de voir s’il y avait quelque chose dans le secteur, mais rien autour du groupe. Le calme revint, mais, au bout d’une quinzaine de minutes, à nouveau un choc sur les vitres.
Le soldat à commencé à avoir peur. Il a examiné la zone autour de lui, mais toujours rien.
Le soldat n’a jamais su ce qui s’était passé. Simple fatigue et stresse ? Difficile à dire…
Les hallucinations psychosensorielles peuvent affecter l’ensemble des sens, tels que la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et superficiellement le toucher.
L’hallucination hypnagogique peut se produire chez une personne manquant de sommeil ou effectuant une tâche trop monotone, voire les deux. Généralement, elle est accompagnée d’endormissements de quelques secondes parfois appelés « micro-sommeil » où la personne reste dans un état intermédiaire entre le sommeil et l’éveil.
Comme le soldat l’a précisé, celui-ci n’a pas dormi depuis environ 24h ce qui engendre fatigue physique et nerveuse sans compter le stress de sa mission.
La répétition de ce type de missions dans un climat de conflit armé entraine fatalement un décrochage de perception de la réalité lorsqu’on se trouve dans un état de fatigue extrême, particulièrement la nuit ou la tension nerveuse est la plus exacerbée.
Ici il est question d’impacts sur une vitre mais il n’est pas fait mention de traces d’impact, d’autre part je ne pense pas qu’il y ait eu qu’une seule pierre (celle de l’impact) autour de son abris. Alors plaisanterie d’un autre soldat ou d’un autochtone, pourquoi pas.
Max
Je penche pour le syndrome de la tête qui explose :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_de_la_t%C3%AAte_qui_explose
Shakainess