En décembre 2020, au Zimbabwé, des personnes ont été attaquées et tuées par une mystérieuse créature. Pour certains, ces attaques seraient le fait d’une sirène qui hanterait la rivières…
C’est près du pont Mtshabezi que des habitants de la ville de Gwanda ont été attaqué par ce qui semble être une créature inconnue.
D’après les témoignages, ces attaques ont commencés dans les années soixante-dix. La plupart des victimes étaient des hommes et des écoliers qui étaient retrouvés noyés. A l’endroit où ont été retrouvé les corps, la rivière est peu profonde et il est peu probable que les victimes se soient noyés là.
Dans les années quatre-vingt, de nombreux décès ont été déclaré tout le long de la rivière.
De nombreux chercheurs d’or sont mort, ainsi que des baigneurs et des personnes venant nettoyer leur voiture. Beaucoup d’entre eux ont été victime de la mystérieuse sirène qui les tuerait.
Plus récemment, les attaques se sont multiplié. D’après les personnes qui vivent dans la région, les attaques semblent se faire par période. Quand un cadavre est retrouvé, une série de mort commence, et s’arrête au bout d’un moment jusqu’à qu’une autre période débute.
Une sorte de prophète local a été envoyé sur place. D’après lui, il pourrait s’agir de sorcellerie, que peut être une entité surnaturelle a été envoyé.
Ce qui est intéressant dans cette affaire c’est la périodicité de cas ainsi que la majorité des morts est de sexe masculin. Tout ceci fait croire aux habitants de la région qu’il s’agirait d’une sorte de sirène. Comme souvent, difficile de faire la part des choses entre le folklore et les faits…
Il aurait été intéressant de connaitre de quelle façon ont été tuées les victimes, la mort par noyade est une des causes mais comment et pourquoi se sont ils noyés.
Quelles sont les types blessures, a-t-on trouver des morsures sur les cadavres ?
Les poissons-chats électriques (Malapterurus) forment un genre de poissons d’eau douce capables de délivrer des chocs électriques de plus de 350 V.
On les rencontre dans plusieurs rivières et lacs d’Afrique, comme le Nil, le lac Tchad, le Niger, le Lac Tanganyika…
Compte tenu des cycles hydrologiques des rivières africaines, à certaines périodes, plusieurs espèces sont contraintes de migrer vers des zones plus hospitalières pour fuir des conditions devenues par trop défavorables au fur et à mesures de l’avancement de l’étiage des cours d’eau.
En Afrique, le cycle hydrologique des rivières influence profondément le cycle biologique des espèces.
Reste à savoir si cette période de cycle hydrologique correspond à une augmentation du nombre de victimes.
Accuser la sorcellerie est bien pratique en Afrique car elle draine dans son sillage une multitude de charlatans tous près, moyennant finance, à exorciser un lieu ou des personnes « possédés ou envoutés ».
Max
Hello,
à ce sujet je vous conseille le documentaire « Kongo »
https://www.youtube.com/watch?v=Cmy0g2hiRnk&list=PLq_kZgugXgOFJOlpEx0RQ-dwrWtN_Xj0D&index=10
Cdt