Nous sommes à Calstelnau-le-Lez en 1890, dans le sud de la France tout près de Montpellier, un anthropologue, Georges Vacher de Lapouge, qui travaillait dans une nécropole de l’Âge du bronze, a fait la découverte de fragments d’os qui semblerait appartenir à un géant…
Le scientifique a découvert ce jour-là des fragments d’humérus, de tibia et de fémur, tous ces morceaux étant sans aucun doute ceux d’os humanoïde, mais ce n’est pas ce qui était le plus étonnant, en effet d’après les analyses statistiques sur la taille moyenne des humains en fonction de leurs os l’homme qui devait posséder ces ossements aurait eu une taille d’environ trois mètres cinquante, taille hors du commun même aujourd’hui.
Plusieurs scientifiques ont analysé ces restes, et même si pour certains, il s’agirait d’une très grande espèce d’hominidé, certaines anomalies sur ces fragments pourraient laisser penser à une maladie plus qu’à une nouvelle espèce d’homme.
Mais, quelques années après, en 1894 à cinq kilomètres du premier site, à Montpellier même, plusieurs corps ont été mis à jour durant un chantier pour un réservoir d’eau. Plusieurs crânes semblants humains ont été découvert. Les dimensions de ces crânes étaient de 71, 78 et 81 cm de circonférence, en général celle d’un être humain est d’environ 55 cm. D’après ces données et les autres os découverts, nous serions en présence d’êtres mesurant entre trois mètres et quatre mètres cinquante… Ce qui est encore gigantesque et très au-dessus de ce que l’on peut imaginer pour un homme.
Ce n’est pas les seuls restes que l’on a d’un supposé géant, tout autour du monde ont été retrouvés des restes de ce type, y avait-il des géants à une époque ou bien certaines anomalies génétiques ont créé ces êtres ? Dans ce genre de cas, les milieux scientifiques sont souvent retissant refusant ces cas les relayant comme étant soit des faux soit des simples anomalies…