L’étonnante histoire des Cagots…

Nous sommes en l’an 800, la population de la ville de Lyon voit apparaître dans le ciel d’étrange objet lumineux descendant du ciel. Les objets venant du ciel se posèrent dans un champ assez près de la ville. Les habitants de la ville sortir ainsi que les êtres qui étaient dans ces vaisseaux. Ils essayèrent de communiquer, mais les habitants de la ville ne comprenant rien se saisir de ces créatures, les clouèrent sur des planches et les jetèrent dans la Saône et le Rhône…

Ces êtres étaient de petite taille, généralement blonds aux yeux bleus. Leurs oreilles sont dépourvues de lobes, des visages disgracieux, avec parfois le teint olivâtre. Ils avaient selon les dires de l’époque une odeur nauséabonde. Pour d’autre, ils sont chauves, sans pavillons d’oreilles, on voit seulement deux trous, ont des doigts et pieds palmés et dégagent une forte odeur… Mais d’autres descriptions existent, certaines complètements contradictoires, il faut dire que pour la population de l’époque, c’étaient des étrangers, et même des marginaux… Il semble aussi que l’on ne voulût connaître rien d’eux, au point que même pour certains, ils étaient hermaphrodites et on leur interdisait de se marier avec le reste de la population…

Un peu plus tard, certains chroniqueurs du Moyen Âge, racontent l’arrivée d’autres de ces créatures dans de nombreuses régions de France. Tous ces êtres ayant les mêmes caractéristiques physiques étranges. Ils furent tous plus ou moins persécutés avant d’être tolérés auprès du reste de la population. Ils se répandirent dans toute l’Europe. La plupart du temps, ils vivaient en dehors des villes et devaient porter une patte d’oie séchée et peinte en rouge cousu sur leur vêtement.

Ambroise Paré, quelques siècles plus tard, étudia cette étrange population, il rapporta de nombreux faits étranges, d’après ses écrits, ces êtres étaient capables de dessécher des fruits en quelques instants rien qu’en les touchant. Que leur corps produisait une importante chaleur et que lorsque, l’on pratiquait des saignés, un sang bleu vert sortait de leur veine presque en étant d’ébullition… Mais même malgré le fait qu’ils soient exclus, ils avaient un grand sens des affaires, et avaient un niveau de vie supérieur au reste de la population. Petit à petit, ils se fondirent avec le reste de la population, et enfin avec la révolution, ils eurent droit à être égaux avec les autres… Et, finalement, disparurent car se mélangeant avec les habitants…

Pour certains, ce peuple était un groupe de lépreux, ou venant d’un pays lointaine. L’hypothèse des lépreux est peu probable car on aurait trouvé des traces sur les os de leurs cadavres. Quant aux autres possibilités, il serait bon de faire une analyse ADN de leurs corps pour en savoir plus…