L’étrange histoire du village de Hoer Verde…

En 1923, plus de six cent personnes, soit toute la population du village de Hoer Verde au Brésil, disparurent sans laisser de traces…

Cette année-là, des voyageurs arrivèrent dans le village. Tout était calme, aucun bruit, aucun passant, aucune voix ne portaient. Les maisons étaient vides. En regardant par les fenêtres des maisons, ils ne trouvèrent personne. Les rues étaient désertes. Les bâtiments étaient en parfait état et rien ne permettait de savoir la raison de la disparition de la population de cet endroit.

Les autorités furent contactées afin d’enquêter sur cette affaire. Sur place, ils ne trouvèrent aucune trace d’enlèvement ni de lutte. La population semble s’être simplement évanouie. Dans l’école du village, sur le tableau, ils trouvèrent une étrange inscription : « Il n’y a pas de salut ».

Des recherches furent lancées afin de déterminer où étaient partie les habitants de la ville. Personne dans les environs n’avait la moindre idée de l’endroit où se trouvaient les villageois. Il n’y avait aucune trace de lutte, même si un fusil avait été retrouvé à l’école, mais sans aucun autre élément permettant de savoir s’il y avait eu un quelconque combat.
Il n’y avait aucune trace de lutte, même si un fusil avait été retrouvé à l’école, mais sans aucun autre élément permettant de savoir s’il y avait eu un quelconque combat. Certaines personnes pensent que la région était à l’époque en plein guérilla et les habitants auraient fuis avant d’être attaqués. D’autres personnes pensent que des extraterrestres ont enlevé la population. Pour d’autres il pourrait s’agir d’une sorte de malédiction, le texte du tableau faisant penser à une phrase religieuse, sans l’Église, il n’y a pas de salut.

Difficile de savoir ce qui s’est passé. Cette affaire n’est pas sans rappeler celle du village de Dangikuni https://mysterium-incognita.com/2017/07/04/leffrayante-histoire-du-village-dangikuni/ qui s’est déroulé en 1930 et où la population avait elle aussi disparue sans laisser la moindre trace. Rien ne permet de savoir ce qui a pu se passer. À votre avis ?