Récemment les mystérieuses momies d’extraterrestres ont refait surface devant le parlement mexicain. Récemment, l’affaire a refait parlé d’elle…

La Chambre basse du congrès du Mexique a de nouveau attiré l’attention en consacrant de précieuses heures à un sujet controversé. Cette fois, le débat portait sur les prétendus restes fossiles d' »êtres non humains » découverts au Pérou. Moins de trois semaines après le passage dévastateur de l’ouragan de catégorie 5 Otis à Acapulco, une ville portuaire abritant près d’un million de personnes, les députés mexicains ont passé plus de trois heures à écouter José Jaime Maussan et son groupe de médecins péruviens.

Ces momies avaient déjà fait l’objet d’une controverse internationale en 2017, lorsqu’elles ont été présentées comme des preuves d’entités non humaines qui ne font pas partie de notre évolution terrestre. Cependant, il est essentiel de noter que des allégations similaires avaient été faites par Maussan en 2017 au Pérou. À l’époque, le bureau du procureur de ce pays avait conclu que ces corps étaient en réalité des « poupées récemment fabriquées » recouvertes d’un mélange de papier et de colle synthétique pour simuler la présence de peau. Ce rapport avait également déclaré que ces créatures étaient très probablement d’origine humaine et n’étaient en aucun cas les restes d’extraterrestres ancestraux.

Les organes des momies n’avaient pas été rendus publics à l’époque, laissant planer des doutes sur la véracité de la découverte. Mardi, le Dr. Daniel Mendoza a présenté des photographies et des radiographies de ce qu’il prétendait être un « être non humain », arguant qu’il s’agissait d’une « nouvelle espèce » en raison de l’absence de poumons et de côtes.

Bien que la tenue d’un débat parlementaire puisse sembler appropriée pour certains, il est impératif de souligner que des preuves solides et vérifiables sont essentielles pour étayer de telles allégations. Le commentaire du législateur Sergio Gutiérrez Luna, affirmant que « toutes les idées et toutes les propositions seront toujours les bienvenues pour en débattre, les entendre pour être d’accord ou non », met en lumière la diversité d’opinions sur ce sujet. Cependant, il est essentiel de maintenir une approche basée sur des faits et la rigueur scientifique pour évaluer de telles allégations extraordinaires, en tenant compte du contexte des événements de 2017.