Finalement, après près d’un an d’analyse, les résultats de l’analyse de la momie de sirène du temple bouddhiste de la ville d’Asakuchi sont tombé…
Cela semble assez éloigné mais en mars 2022 des scientifique avaient décidé d’analyser les restes d’une momie de sirène qui était conservé dans le tombe de la ville d’Asakushi. Cette sirène avait été, d’après la légende, capturée par des pêcheurs au XVIIIe siècle.
L’étrange créature avait l’apparence du haut d’un être humain et la partie basse de celle d’un poisson. Selon la légende, une créature d’une taille d’environ trente centimètres a été capturée dans un filet de pêche sur la côte de la province de Tosa. Cela s’est produit vers 1740. Et ce n’est que récemment que le prêtre du temple dans lequel la momie a été gardée a accepté de le donner aux scientifiques pour une étude détaillée.
La momie de 300 ans d’une créature mystérieuse s’est avérée être… un faux. Pour créer une « sirène ». Nous sommes en présence d’un assemblage de plusieurs restes d’animaux. Le torse est celui d’un singe. La queue est celle d’un poisson et le ongles humains sont humain. Pour étudier plus en détail la composition de la momie, les scientifiques ont examiné son ADN.
Les habitants de la région pensent que cette sirène leur est bénéfique. Le corps sera rendu au temple de la ville.
Malgré le fait que cette momie ne soit qu’un faux, beaucoup de questions restent en suspend. En effet, partout dans le monde, des histoires, des mythes, des légendes parlent de créature ayant la partie supérieur humaine et le reste du corps l’apparence d’un poisson. Des peuples n’ayant pas eu de contact entre eux racontent le même mythe. Difficile de croire à une simple coïncidence. Certains chercheurs pensent qu’il pourrait y avoir une sorte de mémoire collective ou bien une rencontre de peuples anciens avec des créatures ressemblants aux sirènes…
Il y eu certainement une période reculée ou les siréniens existaient en tant que peuple des mers mais l’évolution a fait que ceux-ci on disparu du regard des humains.
Peut être qu’un jour, à l’image du cœlacanthe que tout le monde croyait définitivement éteint, ils réapparaitront au cours d’un reportage en eaux profondes quelque part dans une fosse marine.
En ces temps moroses l’espoir est permis.
Max