Une ancienne légende Sumérienne raconte l’histoire d’un certain Oannes. Pour certains ufologues, cet être serait d’origine extraterrestre…
D’après les écris anciens, Oannes était un être singulier. Son corps était comme celui d’un poisson ; et avait sous la tête d’un poisson une autre tête, et aussi des pieds en dessous, semblables à ceux d’un homme, sous-joints à la queue du poisson.
Carl Sagan y voit une créature venue d’un autre monde. La description qui en est donné fait penser qu’Oannes aurait apporté au peuple sumérien des connaissance beaucoup plus avancé tel que la théorie des anciens astronautes la rapporte.
L’histoire raconte qu’Oannes a conféré aux anciens Sumériens une grande richesse de connaissances, y compris un aperçu de la science, de l’art, de l’écriture et des techniques spécifiques pour la construction de bâtiments.
Divers récits similaires de textes sumériens se réfèrent à des créatures telles que les Apkallu.
« La civilisation sumérienne est décrite par les descendants des Sumériens eux-mêmes comme étant d’origine non humaine », a écrit Sagan. « Une succession de créatures étranges apparaît au cours de plusieurs générations. Leur seul but apparent est d’instruire l’humanité. »
« Chacun connaît la mission et les réalisations de ses prédécesseurs. »
Bien que de tels contes ne soient évidemment pas concluants, Sagan semblait les trouver particulièrement intrigants.
Malheureusement, cependant, nous ne saurons peut-être jamais avec certitude s’ils sont basés sur la vérité ou la fantaisie.
Certaines personnes retrouve dans la description de cette créature peut être une sirène. D’autres y voient un entité d’origine extraterrestre.
Oannès était une divinité chaldéenne mentionnée par Bérose (astronome chaldéen) et qui correspond au dieu mésopotamien Êa (Enki). On racontait que cet être, à corps et tête de poisson, seconde tête et pieds humains, à voix humaine, était sorti de la mer Erythrée pour enseigner aux Babyloniens, qui vivaient sans lois comme des animaux, l’écriture, les sciences et les principaux arts, arpentage, agriculture, etc.
Les Apkallu en akkadien ou les Abgals en sumérien sont sept sages sumériens qui ont été créés par le dieu Enki (Ea) pour apporter la civilisation à l’Humanité. Ils ont servi de prêtres à Enki et de conseillers ou de vizirs des premiers rois de Sumer.
On les dépeint sous la forme d’hommes – poissons qui ont émergé de la mer (l’Apsû) qui, avant le Déluge, révélèrent aux hommes la science, les arts et les techniques. Ils sont généralement représentés comme ayant le bas du corps en queue de poisson, ou habillés d’une peau de poisson. Il apparaissent aussi sous forme d’hommes à tête d’oiseau.
Vous remarquerez sur ces images des objets communs à tous ces « dieux », entre autre cette sacoche et ce qui s’apparente à une pomme de pin qu’ils dirigent face à eux. On les distingue sur tous les bas reliefs babyloniens mais personne n’en connait réellement la signification ni l’utilisation.
https://ma91c1an.files.wordpress.com/2015/07/the-apkallu-of-the-seven-sages.jpg
https://thecomradegeneral.files.wordpress.com/2020/11/apkallu-seal_0773-edit.jpg
Le nom et l’apparence des sept sages différent selon les sources.
Comme ils sont mentionnés sous la forme d’êtres non-humains mi-hommes, mi-poissons on peut les comparer à des figures similaires dans d’autres cultures antiques : la figure récurrente de personnages, de héros ou de dieux civilisateurs qui apportent un savoir essentiel à l’être humain. On retrouve ce thème par exemple avec les Trois Augustes de la mythologie chinoise : Fuxi, Nüwa et Shennong. De même, dans la mythologie hindoue, ce sont sept Rishi (anciens Sages) qui sont censés avoir participé au Veda (le vrai savoir, la vraie connaissance).
Le point commun à tous ces mythes et légendes est que des êtres sont venus sur terre pour apporter aux humains primitifs la connaissance sans doute afin d’accélérer le processus d’évolution. Au vu de l’histoire de l’humanité les résultats sont probablement loin d’être à la hauteur de leur espérance.
Max
complément passionnant merci