En 1946, le général James H. Doolittle a été envoyé en Suède par la Shell Oil Company, pour enquêter sur le mystère de « fusées fantômes »…

 En 1946, le général James H. Doolittle se rend dans la région de Spitzberg. Personne ne sait vraiment pourquoi de façon claire. Difficile de croire qu’une compagnie pétrolière fasse une demande de ce type à un militaire.

Dorothy Kilgallen, une journaliste américaine, a affirmé que qu’une personne du gouvernement britannique l’avait informée qu’un ovni s’était écrasé près du Spitzberg. Cette affaire a fait l’objet d’une enquête par l’armée britannique et américaine.

Dorothy avait couvert l’histoire de l’enlèvement de Lindbergh qui a fait la une des journaux. Dans les années 1950, elle avait couvert l’une des principales histoires de son temps. Reste à savoir si cette affaire était lié à des observations d’ovni voir à un crash.

Étonnamment, en 1952 une autre affaire d’ovni fait son apparition toujours dans la région de Siptzberg. Le journal allemand « Saarbrücker Zeitung » en juin 1952. L’article, intitulé « Auf Spitzbergen landete Fliegende Untertasse », a rapidement été repris par plusieurs autres journaux allemands, dont beaucoup citant « The Stuttgarter Tagerblatt » comme source originale.

D’après les informations fournis, des pilotes de chasse de l’armée norvégienne ont repéré un ovni écrasé dans la région de Spitzberg. L’engin était en forme de disque avec une série de jets autour du bord du disque pour le faire tourner.

Des informations supplémentaires ont raconté qu’il y avait aussi sept corps dont on ignore l’origine près de la zone de crash. Ces cadavres étaient brulés et méconnaissable.

Une information officielle a été donné afin d’expliquer que l’objet en forme de disque serait un appareil russe qui se serait écrasé. L’appareil était non habité.

Y-a-t-il un lien entre ces deux affaires et ces deux crashs ? S’agissait-il d’un appareil expérimental ou bien d’un engin d’origine extraterrestre ? En pleine guerre froide la plupart des informations se sont perdu et il sera difficile d’en savoir plus aujourd’hui.