En 1790, l’inspecteur de police de Paris Liabeuf est envoyé à Alençon, un mystérieux objet se serait écrasé dans une colline.
C’est le 12 juin de l’année 1790, il est cinq heur du matin lorsque des paysans aperçoivent dans le ciel un énorme globe entouré de flamme. Si au départ ils pensent avoir affaire à une sorte de montgolfière, ils se rendent compte qu’il s’agit de tout autre chose. L’objet émet des sifflements et semble être dirigé. Quelques instants plus tard, l’objet se précipite vers une colline déracinant des arbres. La chaleur émise par l’objet est tellement intense que les végétaux prennent feu quand il s’en approche.
Les paysans arrivent à contenir les incendies et, finalement, ils arrivent à proximité de l’étrange sphère. L’objet est plus grand qu’un carrosse de l’époque. Il était au sol et parfaitement intacte. De nombreux témoins étaient sur place, les maires de deux villes, un médecin ainsi que des villageois.
Tout d’un coup, une sorte de porte s’ouvrît. Un être ayant une apparence humaine sortie de l’objet. Il portait une curieuse tenu pour l’époque, un vêtement très ajusté au corps. En voyant les témoins, il parla dans une langue inconnue avant de s’enfuir dans la forêt devant les villageois médusés.
Les paysans se reculèrent effrayés, juste au bon moment car l’objet explosa projetant des débris dans les environs. Ces restes brûlèrent jusqu’à n’être que des cendres.
Les autorités locales fouillèrent la région dans l’espoir de retrouver le fugitif mais en vain. Personne ne retrouva jamais sa trace. Le rapport de l’inspecteur ne fut pas pris au sérieux malgré les informations données par des témoins de confiance. Il restera très longtemps la trace dans le sol de l’objet.
Certaines ufologues pensent qu’il pourrait s’agir d’une entité extraterrestre qui aurait été récupérée par ses compatriotes. D’autres pensent qu’il pourrait s’agir d’un voyageur dans le temps. Malheureusement, sans débris ni d’autres éléments, il sera impossible de savoir ce qui s’est passé en 1790 à Alençon…