L’étrange mort de Margaret Schilling…

C’est en 1979 que Margaret Schilling est décédée, elle n’était qu’une patiente parmi tant d’autre d’un hôpital psychiatrique, mais elle a laissé à jamais un souvenir d’elle…

The Ridges était à l’origine le centre de santé mentale de la ville d’Athènes dans l’Ohio. Il avait ouvert ses portes en 1874. C’était un établissement qui permettait d’isoler les malades mentaux de la population. Si au départ, il avait une capacité d’un peu plus de cinq cent personnes, dans les années cinquante un peu plus de deux mille patients résidaient dans ses murs…

Au fils des années, certaines ailes des bâtiments furent plus ou moins laisser à l’abandon, et était dans un état de total délabrement. Le centre était tellement grand qu’on pouvait facilement s’y perdre, on était pratiquement dans une sorte de véritable labyrinthe…

Margaret Shilling était une femme d’un certain âge qui avait des troubles mentaux. Elle avait été placée en traitement dans cet hôpital. Mais, le soir du 2 décembre 1978, elle manqua à l’appel. Les équipes médicales la cherchèrent dans le bâtiment et dans les alentours.

C’est le 12 janvier 1979 qu’elle fut retrouvée au dernier étage du bâtiment. Elle était allongée nue sur le sol. Ses vêtements étaient posés à côté d’elle, pliés avec soin. L’autopsie montrera qu’elle est décédée de mort naturelle, probablement d’une crise cardiaque. Mais un phénomène aussi étonnant qu’incroyable s’était passé.

En effet, quand les employés du centre enlevèrent le corps, ils purent voir une trace sur le sol correspondant à la silhouette de Margaret.

L’équipe de nettoyage chercha a supprimer cette silhouette mai en vain. Aujourd’hui encore, la forme est encore visible sur le sol. Un chercheur en biochimie, Glen Jackson, étudia la forme et fit plusieurs analyses. D’après cette étude, la silhouette serait dû à l’effet de la décomposition du corps dont la graisse, ainsi qu’à la lumière du soleil.

Personne ne sait pourquoi cette femme s’est déshabillée et s’est laissé mourir sans demander de l’aide. Depuis sa mort, de nombreuses personnes affirment voir une femme qui les fixait depuis les fenêtres appartenant à la pièce où son corps a été retrouvé. Son fantôme hanterait toujours le bâtiment en ruine un peu, comme si son image la gardait captive de l’asile…