Nous sommes en 1560, au Coeur de la Roumanie.Nous sommes en 1560, au Coeur de la Roumanie. Dans une famille célèbre ayant été jusqu à changer de nom pour celui de Bathory (Vaillant), naquit cette année-là Erzébet. L’histoire raconte qu’elle fut élevée par sa future belle-mère, lui inculquant les écritures saintes et les prières.
Erzébet est belle, terriblement belle, probablement une des plus belles femmes de la région. Elle se maria à l’âge de 15 ans, alliant ainsi par le mariage deux de plus grande famille de cette nation. Le couple s’installa à Csejthe. Elle vécut seule à l’intérieur de ce palais, loin de chez elle. Elle commença à cette époque des actes de cruauté, elle fit déshabiller quelqu’un de la famille de son époux et lui fit couvrir le corps de miel avant de l’attacher de le jardin pour que les insectes la piquent…
La légende raconte qu’un jour, elle frappa une de ses servantes, le sang éclaboussa le bras de la Comtesse et celle-ci vit sa peau s’embellir sous l’effet du sang… En 1579, sa belle-mère décède. Erzébet se rend à Vienne ou déjà, elle est surnommé la Comtesse Sanglante. Des gens parlent de cri de jeunes filles provenant de son château… Progressivement, elle sombre dans un désir de sang, elle ne veut pas vieillir et veut garder à jamais une peau douce et belle. Et elle semble avoir trouvé le moyen, le sang lui offre semble-t-il cette capacité… Le couple achète à cette époque une maison, là, elle passa ses nerfs dans le sang, on entendait des hurlements chaque nuit, son mari toujours partie à la guerre n’en sut sans doute rien. On raconte que sa chambre était tellement couverte de sang que l’on devait verser des cendres sur le sang pour qu’elle puisse passer. Ses serviteurs devaient tout le temps nettoyer…
En janvier 1604, son mari meurt. Seule, elle peut assouvir tous ses désirs, elle devient encore pire, partout autour de cette province des jeunes filles disparaissent, personne ne peux imaginer ce qui se passe. Partout, elle a des complices et des serviteurs qui lui permettent de se fournir en victime… Elle achète le silence du prêtre de la région pour éviter que la rumeur se repende et, les cadavres s’entassant, elle ne prend même plus la peine de dissimuler les morts. Erzébet s’adonna à plein de forme de torture, elle fouettait ses victimes, les brûlaient, les écorchaient… Elle aimait se couvrir du sang de jeunes filles dans l’espoir de rester à jamais jeune et belle… Pour faire tout cela, elle eut plusieurs complice, Ficzko, un bossu, Dorko, une sorte de sorcier, ainsi que Anna Darvulia, qui l’initia a la torture et semble-t-il à des rites païens… Quand on commença a supçonné un peu plus la comtesse, elle disparus, et on ne la revu plus jamais…
Les tortures continuèrent, jusqu’au jour où en 16h10, l’Empereur d’Autriche, le paladin Gÿorgy Thurzo ainsi que leurs suites demandèrent asile au Palais. En fait Thurzo menait une enquête sur les disparitions, il fouilla les lieus et découvrit des jeunes filles dans des cellules qui attendaient pour être massacrées, celles-ci étaient forcées de se nourrir du cadavre de celle déjà morte pour pouvoir survivre.
Les complices de la comtesse sauf ceux qui purent s’échapé furent condamné à mort. Au vu du noble lignage de la comtesse et comme sa famille était très connu, influent et avait engendré de nombreux héros, elle fut condamnée à être emmurée vivante dans une de ses tours, avec jute un passage pour qu’elle puisse avoir de la nourriture. Elle vécut 3 ans et demi dans cette tour qui était presque déjà une tombe. Elle décéda le 21 août 1614, un des jeunes gardes voulus la voir par l’ouverture s’aperçu qu’elle était allongée par terre, morte. La légende raconte qu’encore à ce moment, elle semblait aussi jeune, comme si le temps ne l’avait pas touché… Où moment où on arrêta Erzébet, certain évaluent le nombre de victimes à 400 jeunes filles, on ne sera jamais le nombre exact, ni les raisons, mais ce fut sans doute une des femmes les plus criminelles que l’on ai pu voir sur cette terre…
[…] tout le monde connaît la comtesse Erzebeth Báthory, une autre comtesse aurait sévi au dix-huitième siècles, Daria Nikolaïevna […]