C’est une bien étrange histoire que celle du père Crespi. Ce prêtre est né à Milan en 1891, mais il a passé la plus grande partie de sa vie en Equateur où travailla en tant que missionnaire. C’est en étant en contact avec les populations locales qu’il a commencé à sympathiser avec les différentes tribus. Ces mêmes tribus lui offrir de nombreux présents pour tout ce qu’il avait fait pour eux. Ces objets se trouvaient être d’anciens artefacts que les indigènes avaient découverts dans des tunnels souterrains qui avaient été découverts par les populations locales dans la jungle.
Malheureusement pour notre prêtre les autochtones ne révélèrent pas la position de ces grottes.
Mais la quantité et l’étrangeté des objets offerts suffisaient à intriguer notre missionnaire. En effet, les artefacts qui avaient été découvert offraient d’étranges similitudes dans leurs apparences et gravures avec des objets provenant des civilisations babyloniennes et sumériennes découverts Il semble que beaucoup de ces sculptures ressemblent à des objets venant d’un peu partout dans le monde. Certains y auraient même vu des représentations d’animaux préhistoriques…
Les objets étaient très variés, il y avait des sculptures, des gravures sur des plaques. Un des artefacts les plus étranges était une plaque en or sur laquelle était gravé des symboles qui constituaient sans doute une écriture d’origine inconnue. Un linguiste Hindou, Dileep Kumar, affirma que l’écriture était proche des symboles des textes Brahmi qui étaient utilisé en Inde il y a plus de deux mille trois cent ans. D’autres y ont vu une écriture magyare voir phénicienne, en tout cas ces caractères étaient très anciens mais similaires à ceux que l’on trouve en Eurasie.
En tout, il semblerait que la collection comptait environ soixante-dix mille pièces. Dans les années soixante, le Vatican accorda au prêtre d’ouvrir un musée dans une école de Cuenca. Étrangement, et malheureusement, le musée fut brûlé quelques années, après détruisant une bonne partie des découvertes. Quelque temps après la mort du père Crespi, le reste des objets furent perdu ou, pour certains, ont été dissimulés à la vue de tous. Pour eux, le Vatican aurait cherché à dissimuler des informations…
Cette étrange histoire de plaques gravés et de découvertes de symboles inconnues n’est pas sans rappeler l’affaire de la bibliothèque de livres de métal de Tayos. En effet, les découvertes sont très proches de plus ces deux histoires parlent de tunnels remplis d’artefacts. Si tel est bien le cas, il se pourrait bien que d’étranges tunnels encore inexplorés recèlent des objets d’origines anciennes voir inconnues. Certaines plaques gravées montrent des créatures mi-homme mi- lézard faisant penser à des reptiliens. Ces objets malheureusement perdus sont pleins de représentations que l’on voit dans toutes les civilisations. Si pour beaucoup de personnes ces artefacts pourraient être un lien entre toutes les anciennes civilisations, d’autres y voient la présence d’anciens astronautes qui auraient visité la terre et auraient éduqué les êtres humains. Les reptiliens sont souvent vu comme étant des créatures venues il y a des millions d’années pour offrir la connaissance aux anciennes civilisations.
La perte de ces documents très anciens ne permet pas d’en savoir plus. Il faut espérer qu’un jour les archéologues découvrent ces grottes et révèlent à tous les mystères de la civilisation qui a dissimulé dans ces tunnels ces étranges plaques gravés et ces sculptures…
Sans aucun de ces objets, difficile de dire si cette histoire est authentique ou non, on ne peut qu’attendre de nouvelles découvertes… Malheureusement ce type d’affaires est souvent reprise par les créationnistes et discréditent le sujet. On a le devoir d’attendre que les archéologues nous offre des preuves et étudient ces restes s’ils sont retrouvés au fond de la jungle…