Des nouvelles analyses ADN ont été effectué dans le Loch Ness
Une étude génétique dans les eaux du Loch Ness a été effectué dans le but d’essayer d’éclairer l’existence d’une créature inconnue au fond du célèbre lac.
À la fin des années 2010, le professeur Neil Gemmell et une équipe de chercheurs ont prélevé 250 échantillons d’eau sur tout le site important. Ces matériaux ont ensuite été envoyés à plusieurs laboratoires où l’ADN a été extrait, puis séquencé génétiquement pour identifier les animaux d’origine. Alors que l’étude a détecté un éventail de créatures connues pour vivre au Loch Ness, le seul suspect possible du célèbre « monstre » était une angle qui avait atteint des proportions gigantesques et beaucoup ont trouvé que cette théorie était la meilleure. Maintenant, Gemmell espère mener une nouvelle enquête pour approfondir le mystère.
En 2018, un projet de la société de biotechnologie Illumina, a été critiqué. En effet, l’étude avait été fait sur un trop petit échantillon qui ne représentait pas l’intégralité de le faune qui pouvait vivre dans le lac.
Un nouvel examen a donc été lancé. À cette fin, Gemmell a conçu un système de collecte passif qui pourrait être mis sur des bateaux qui fréquentent le Loch Ness ou sur des écluses qui longent le fleuve Ness. Cette méthodologie permettrait à des échantillons d’être achetés en permanence au fil du temps et de fournir une compréhension continue de l’écosystème plutôt qu’un instantané unique comme ce fut le cas avec l’étude initiale. Appelant le deuxième effort proposé « Loch Ness 2.0 », Gemmell voit l’étude comme une chance de faire progresser le développement de la recherche sur l’ADN environnemental tout en fournissant éventuellement des réponses sur ce que les gens repèrent dans les eaux du site depuis tant d’années.
Encore une nouvelle analyse, mais difficile de croire qu’un animal puisse vivre seul dans un lac depuis de nombreuses années. De plus, s’il y avait un monstre de très grande taille, il aurait déjà dévoré toute la faune se trouvant dans le lac…