Remontons le fil du temps, jusqu’aux années 1950. L’Amérique sort à peine de la Seconde Guerre mondiale, hantée par Hiroshima, Nagasaki et une nouvelle angoisse : et si le ciel n’était plus à nous ?
Roswell a laissé une cicatrice ouverte dans l’inconscient collectif, et dans les couloirs feutrés du pouvoir, une certitude s’installe : la domination des airs est la clé de la survie.
1954 : le traité qui n’aurait jamais dû exister
Selon une frange obscure mais persistante de l’ufologie, c’est en 1954, sous la présidence de Dwight D. Eisenhower, qu’un premier contact officiel aurait été établi avec une entité non humaine.
Pas des sauveurs stellaires.
Pas des anges.
Mais les Gris.
Ces êtres à la peau cendrée, aux yeux noirs insondables, auraient proposé un marché. Un accord froid, clinique, presque bureaucratique. Ce document non reconnu officiellement est connu sous le nom de Traité Greada, en référence à une rencontre secrète sur une base aérienne californienne.
Les termes supposés de ce pacte font frémir :
- l’autorisation de prélever des animaux terrestres, principalement du bétail ;
- et, plus tard, une « quantité limitée » d’êtres humains à des fins expérimentales.
En échange ?
Des technologies avancées : propulsion antigravitationnelle, armes à énergie dirigée, techniques de manipulation neurologique. De quoi nourrir les programmes noirs les plus controversés du complexe militaro-industriel américain.
Aucune archive officielle ne confirme l’existence de ce traité. Mais son absence même alimente le soupçon. Dans les affaires occultes d’État, le silence est souvent plus parlant que les aveux.
Les mutilations animales : le premier tribut
Dès les années 1960, un phénomène étrange se répand dans les campagnes américaines. Des milliers de bovins sont retrouvés morts, mutilés avec une précision dérangeante :
- organes prélevés sans trace de lutte ;
- absence totale de sang ;
- découpes nettes, impossibles à reproduire avec des outils agricoles classiques.
Les autorités parlent de prédateurs naturels. Les vétérinaires froncent les sourcils. Les éleveurs, eux, savent que quelque chose cloche. Pour beaucoup d’ufologues, ces mutilations ne seraient que la première phase du traité.
L’appât avant la chair humaine.

Dulce : le cœur souterrain du secret
Au Nouveau-Mexique, près de la petite ville de Dulce, s’élève Archuleta Mesa. Un plateau aride, banal en apparence. Pourtant, selon de nombreux témoignages clandestins, ce lieu cacherait l’une des installations les plus secrètes jamais construites.
La base de Dulce aurait vu le jour à la fin des années 1960. Elle ferait partie d’un réseau tentaculaire de bases souterraines, creusées à des profondeurs extrêmes grâce à des technologies expérimentales.
Autonome, alimentée par des sources géothermiques, dissimulée sous une réserve amérindienne, elle serait l’endroit idéal pour mener des expériences que personne ne doit voir.
Les récits parlent de sept niveaux, s’enfonçant à plusieurs kilomètres sous terre :
- les niveaux supérieurs occupés par des installations humaines classiques ;
- les niveaux intermédiaires dédiés à la recherche biologique ;
- et les niveaux inférieurs… réservés aux entités non humaines.
C’est là que l’odeur du soufre remplace l’air recyclé.
Là que les cris ne remontent jamais à la surface.
Hybridations, implants et cauchemars éveillés
Selon plusieurs lanceurs d’alerte autoproclamés, Dulce ne serait pas qu’un centre de recherche. Ce serait un laboratoire d’hybridation.
Des humains y seraient utilisés pour tester des implants neurologiques, des modifications génétiques, et des croisements destinés à créer une nouvelle entité : ni totalement humaine, ni totalement extraterrestre.
Certains parlent de salles remplies de cuves.
D’autres évoquent des enfants disparus, jamais retrouvés, intégrés à des programmes impossibles à décrire sans ressentir un profond malaise.
Mythes ? Fantasmes ? Ou reflets déformés d’une vérité trop lourde à accepter ?
Phil Schneider : l’homme qui a parlé trop fort
Dans les années 1990, un homme vient troubler le silence. Phil Schneider, ingénieur et géologue de formation, affirme avoir travaillé sur des projets de forage de bases souterraines.
Il raconte un incident survenu à la fin des années 1970. En creusant, son équipe aurait percé accidentellement une cavité occupée par des entités non humaines.
La rencontre dégénère.
Des tirs.
Des armes inconnues.
Des morts.
Schneider affirme avoir été gravement blessé par une arme énergétique, perdre plusieurs doigts et développer plus tard un cancer lié à une exposition massive aux radiations.
Il parle de dizaines de morts humains.
Et d’un massacre que l’histoire officielle n’a jamais enregistré.
1979 : la rupture
Toujours selon ces témoignages, une seconde confrontation aurait eu lieu peu après. Cette fois, dans une salle de conférence souterraine. Un être non humain y aurait exécuté un agent humain sans avertissement.
La riposte aurait été immédiate… et catastrophique.
Les humains auraient perdu.
Lourdement.
À partir de là, les relations auraient basculé. D’une coopération fragile à une domination imposée. Les exigences extraterrestres se seraient intensifiées. Les abductions aussi.
Une mort qui dérange
En 1996, Phil Schneider est retrouvé mort. Officiellement, il s’agit d’un suicide.
Mais les circonstances troublent : étranglement, absence de lettre claire, blessures antérieures. Pour ses partisans, il s’agit d’une exécution silencieuse. Un avertissement adressé à tous ceux qui seraient tentés de parler.
Il n’est pas le seul. D’autres témoins disparaissent, se rétractent ou meurent dans des conditions étranges.
Coïncidences ?
Ou mécanisme de nettoyage ?
2025 : divulgation ou anesthésie collective ?
Aujourd’hui, les gouvernements reconnaissent l’existence de phénomènes aériens inexpliqués. Le terme OVNI est remplacé par UAP. Le discours est plus lisse, plus contrôlé.
Mais aucune révélation ne mentionne Dulce.
Aucun traité.
Aucun Gris.
Alors une question demeure, délicieusement dérangeante :
et si cette transparence n’était qu’un rideau de fumée ?
Conclusion
Le mythe – ou la réalité – de Dulce et du Traité Greada reste l’un des récits les plus sombres de l’ufologie moderne.
Un récit où l’humanité ne serait pas visitée… mais exploitée.
Et si tout cela était faux, pourquoi tant de silences, de morts suspectes et de zones interdites ?
Et si c’était vrai… sommes-nous déjà trop loin pour reculer ?
