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Pamela Stonebrook : la chanteuse de jazz qui aimait les reptiliens

Par Nefer · 14 août 2025

« Ce n’était pas un rêve… c’était réel. Il était là, dans ma chambre, et il m’a touchée comme aucun homme ne l’avait fait auparavant. »

— Pamela Stonebrook

Une voix suave… et une histoire déroutante

Dans les années 1990, Pamela Stonebrook est surtout connue pour ses performances vocales envoûtantes, une voix de velours nourrie de jazz et de blues. Basée à Los Angeles, elle mène une carrière respectable dans les clubs de musique, mêlant élégance et mystère.

Mais au tournant des années 2000, ce n’est plus sa voix que les médias évoquent, mais son incroyable confession : la chanteuse affirme avoir été enlevée à plusieurs reprises par des extraterrestres, dont un en particulier – un être reptilien, humanoïde, grand, musclé… et, selon ses mots, « d’une sensualité inouïe ».

Le témoignage qui secoue l’ufologie

Pamela décrit son expérience non pas comme une agression ou un enlèvement traumatique, mais comme une rencontre sexuelle interespèce consentie et profondément marquante. Elle évoque des rapports intimes avec un reptilien à l’aspect à la fois terrifiant et séduisant, une entité dotée d’un regard perçant, d’une peau écailleuse et d’un pouvoir hypnotique écrasant.

Elle raconte :

« Je me suis réveillée, et il était là. Immense, dominant, d’un vert sombre. Mais je n’avais pas peur. Au contraire, je ressentais une attraction irrésistible. C’était au-delà du physique… une connexion mentale, spirituelle. »

Cette confession, qu’elle délivre dans plusieurs interviews et conférences, notamment au Laughlin UFO Congress (Nevada), ne tarde pas à faire le tour des cercles ufologiques… et des tabloïds.

Rencontre du troisième type… érotique ?

Le cas de Pamela Stonebrook n’est pas isolé. Il s’inscrit dans une série de récits liés aux abductions extraterrestres à connotation sexuelle, souvent passées sous silence ou tournées en dérision. Toutefois, là où d’autres décrivent des procédures froides et traumatisantes, Pamela évoque une relation quasi mystique, une fusion des corps et des esprits, comme si ces rencontres étaient une forme d’initiation cosmique.

Dans ses propos, on retrouve des éléments troublants évoqués par d’autres contactés :

  • Télépathie et perte du contrôle physique.
  • Temps manquant (missing time).
  • Flottement hors du lit ou sensation de lévitation.
  • Hybridation, ou sensation que ces relations servent un but génétique.

Mais là où Stonebrook se distingue, c’est dans l’émotion de son récit : elle parle d’amour, de désir, de transformation intérieure.

Reptiliens : entités de l’ombre ou amants stellaires ?

Le lien entre Pamela Stonebrook et les théories reptiliennes alimente un débat fascinant. Pour certains, les reptiliens sont des prédateurs interdimensionnels, manipulateurs froids qui infiltreraient les sphères du pouvoir mondial (selon David Icke, entre autres). Pour d’autres, ils seraient simplement une espèce extraterrestre parmi d’autres, ni plus ni moins bienveillante.

Pamela, quant à elle, dépeint une dualité dans ces êtres : elle affirme que certains reptiliens seraient agressifs ou dominateurs, mais que celui qu’elle a rencontré appartenait à une faction différente, une caste évoluée, presque spirituelle.

Vérité, fantasme ou reprogrammation mentale ?

Les psychologues sceptiques parleront de paralysie du sommeil, de rêves lucides à contenu érotique, voire de délires sexuels induits par un trauma enfoui. Mais les ufologues les plus aguerris s’interrogent : pourquoi tant de similitudes entre les récits ? Pourquoi ce tabou autour des relations intimes extraterrestres ? Et surtout… si ces êtres existent, quels sont leurs véritables objectifs ?

Pamela, de son côté, assume pleinement son histoire. Elle l’a même intégrée à sa musique, dans des titres où le jazz flirte avec les étoiles et les mondes invisibles.

Une figure culte de la contre-culture ufologique

Aujourd’hui, Pamela Stonebrook est à la fois moquée, admirée, ignorée ou considérée comme une pionnière par certaines communautés. Dans les sphères new age et exo-spirituelles, elle est perçue comme une initiée, une ambassadrice d’un amour cosmique au-delà des normes humaines.

Elle a donné naissance à une nouvelle facette de l’ufologie : la sexualité extraterrestre, longtemps taboue, désormais abordée avec plus de sérieux, notamment dans des travaux comme ceux de Dr. Karla Turner, Barbara Lamb ou encore David Jacobs, bien que ceux-ci restent beaucoup plus sombres dans leurs interprétations.

En guise de conclusion…

Pamela Stonebrook ne prétend pas détenir la vérité. Elle raconte sa vérité, celle d’une femme transformée par l’expérience de l’inconnu, d’un contact avec ce qui pourrait être le mystère ultime : une intelligence étrangère, venue des étoiles… ou d’un autre plan de réalité.

Et si nos désirs les plus profonds étaient aussi les leurs ?

Et si, sous le vernis du rationnel, une autre histoire, plus ancienne et plus charnelle, se jouait dans les plis du réel ?

📚 Pour aller plus loin :

  • Pamela Stonebrook – Interviews diverses (UFO Congress, Coast to Coast AM)
  • David Icke – The Biggest Secret (1999)
  • Dr. Karla Turner – Taken: Inside the Alien-Human Abduction Agenda
  • Barbara Lamb – Alien Experiences

Souhaites-tu une illustration photoréaliste de la rencontre selon sa description ? Je peux t’en créer une pour l’article.

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