Le poltergeist de la rue Gascon Gotor…

C’est dans les années 1930 qu’une famille d’Espagne aurait été terrorisé par les manifestations d’un Poltergeist…

La famille Palazon s’était installé dans un complexe d’appartement. Un curieux phénomène est soudainement apparu. Ils entendaient des rires et des voix étrange venant de leur logement. 

Au départ, ils crurent que le phénomène venait de la femme de ménage, Pascuala Alcocer qui fut la première à parler du phénomène. Rapidement des rumeurs parlèrent de cet appartement hanté et des visiteurs ont commencé à venir dans le bâtiment. 

La police décida d’en finir avec cette histoire qui attirait des touristes d’un peu partout dans le monde. Les autorités se sont donc rendues sur place. 

Au cours de l’enquête, les fonctionnaires ont trouvé de plus en plus de preuves qu’il ne s’agissait pas d’un canular. L’entité aurait non seulement parlé, mais aussi été capable de voir ce qui se passait dans la maison. Elle indiquait avec précision le nombre de personnes qui se trouvaient dans une pièce à la fois.

Même l’armée a été appelée pour enquêter sur l’affaire ; toutes les communications (radio/téléphone) ont été coupées depuis l’extérieur. La voix maniaque a continué à émaner du poêle à bois, mais maintenant avec une attitude différente. Elle a commencé à crier et à insulter toutes les personnes présentes dans la pièce, leur disant qu’elle les tuerait toutes.

Après deux mois d’insultes et de menaces, la voix maniaque s’est soudainement arrêtée. Comme dans tous les cas de poltergeist, elle s’est manifestée rapidement et sans avertissement et a disparu de la même façon.

Si pour beaucoup il ne s’agissait que d’un canular, la femme de ménage a été traumatisé et à vécu en recluse. Les phénomènes se sont arrêtés sans explication…