La navette de Toprakkale est un objet bien connu dans le domaine des artefacts antiques. Et l’un des plus incroyable OOPART…

L’auteur et enquêteur Zecharia Sitchin a retracé cet artefact dans un musée d’Istanbul, en Turquie. Il n’était pas exposé, car les conservateurs pensaient qu’il s’agissait supercherie. L’artefact, nommé d’après le site de Toprakkale où il a été trouvé, semblait ressembler à une fusée avec un astronaute assis dedans et donc il ne pouvait pas être très vieux, c’est ce qu’ils ont pensé.

Toprakkale, situé près du lac Vani dans la région du Caucase, est lui-même un site extraordinaire.

Dans l’Antiquité (9e siècle avant J.-C.), elle était connue sous le nom de Tushpa, la capitale du royaume d’Urartu. Tushpa a été fondée par la construction d’une forteresse à l’extrémité ouest de la citadelle de Van.

Les murs de cette ancienne forteresse urartienne, souvent simplement appelée Toprakkale, sont spéciaux, car ils sont construits avec une maçonnerie cyclopéenne. Cela signifie que les murs sont construits sans mortier, avec d’énormes blocs de pierre. Cette méthode de construction était déjà légendaire pour les anciens Grecs, qui imaginaient que de tels murs ne pouvaient être construits que par une race de géants, appelés Cyclopes. La maçonnerie cyclopéenne se retrouve en Europe dans les bâtiments mycéniens, mais aussi sur d’autres continents, par exemple au Machu Picchu, au Pérou et sur d’autres sites précolombiens. On croirait presque être dans des textes de Lovecraft. Personne ne sait vraiment les méthodes utilisées et ces constructions restent des plus incroyables.


L’objet le plus étonnant reste cette sculpture. Zecharia Sitchin décrit cet objet comme étant « une maquette sculptée de ce qui, aux yeux des contemporains, ressemble à une fusée à nez conique… Propulsée par un groupe de quatre moteurs d’échappement à l’arrière entourant un moteur d’échappement plus gros, la fusée a de la place pour un seul pilote – montré et inclus dans la sculpture ».


Malheureusement, il manque la tête du pilote et on ne sera sans doute jamais quelle apparence, il avait. Il n’est pas non plus possible de dater de la pierre et, par prolongement, savoir si elle a été sculptée récemment ou s’il ne s’agit que d’une supercherie. Le mystère restera sans doute à jamais entier…