Nous sommes en 1937 dans la région de Baian-Kara-Ula au nord du Tibet. L’archéologue chinois Chi Pu Tei explore des grottes de cette zone. Il découvre bientôt une série de grottes qui semble être un ensemble funéraire. Dans ces grottes, il découvre des corps ayant une apparence humaine, mais de petite taille, environ un mètre trente, mais possédant une importante boîte crânienne. Celle-ci est totalement disproportionnée par rapport au corps de ces « hommes ».
Accompagnant ces cadavres, il découvrit sept cent seize disques de pierre sur lesquels on pouvait trouver une sorte de sillon qui tournait en spirale autour de la face.
Pour l’archéologue il ne s’agit que de cadavre de singe et les disques auraient été rajoutés par une des civilisations suivantes vouant une sorte de culte à ces corps…
Après la Seconde Guerre mondiale, en 1947, le docteur Robin-Evans qui s’était procuré un de ces disques par l’intermédiaire du professeur polonais Lolladoff, monta une expédition. Dans la région proche de Baian-Kara-Ula, ses guides l’abandonnèrent pris de peur superstitieuse de ces montagnes. Il réussit quand même à se rendre près de ces montagnes, après avoir séjourné avec des indigènes, il commença à apprendre la langue des Dzopa, le peuple qui séjournait là. Ils lui apprirent qu’il venait d’un autre monde, sur une des planètes de Sirius, qu’après un crash son peuple fut forcé de vivre ici… Le nom Dzopa serait une déformation du mot Dropa.
Nous sommes en 1962 lorsque le professeur Tsum entreprit la traduction des disques… Ils commencèrent à être étudiés, et en les examinant de près, on découvrit qu’il s’agissait une sorte de hiéroglyphe, un texte écrit dans une langue et une forme inconnue. L’écriture est minuscule, pratiquement impossible à lire à l’oeil nu. Et pourtant ce texte est très précisément gravé. Les pierres furent datées, elles avaient un âge d’environ 12 000 ans. Il commença sont décryptage et petit à petit, il parvint à percer le code et ce que nous disaient ces pierres.
Ils ont été pris tous les deux en photo par le docteur Robin-Evans, en 1974, ils mesurent respectivement un mètre vingt et un mètre.
Ces pierres nous racontent l’histoire de ce peuple, les Dropas, qui serait venu d’un engin spatial, il y a 12000 ans. Leur vaisseau se serait écrasé dans cette chaîne de montagnes, ils auraient été pourchassés pendant quelque temps par les indigènes. Et ils se cachèrent dans des grottes. Ils étaient différents des hommes, plus petits, le teint jaune et de grands yeux bleus. Finalement, ils auraient sympathisé avec des tributs proches. Mais, hélas, ne pouvant réparer leur véhicule et ils furent forcés à rester là…
En 1968, un scientifique russe,W. Saitsew, étudia ces pierres, outre la gravure très difficile à effectuer en étant aussi fines et pour les gens de cette époque. Ces pierres sont terriblement dures, elles contiennent une forte proportion de cobalt. De même, après analyse, il découvrit que ces pierres avaient été autrefois chargées électriquement, mais il n’a aucune idée de la raison pour laquelle elles avaient été électrifiées. Peut-être pour la procédure de gravure, ou pour tout autre but… \n\nPlus tard, en 1995, dans la province du Sichuan, on découvrit une peuplade de cent vingt habitants qui n’avait jamais été recensée. Ces femmes et ces hommes sont de petite taille, environ un mètre de haut. Peut-être avons-nous retrouver la trace de ce peuple…
Même si on peut être sceptique, et en attendant d’autres découvertes, on a peut-être devant les yeux l’une des énigmes extraterrestres les plus étranges, et peut être l’une des preuves de vie venant d’ailleurs…