Le ver mortel de Mongolie est un ver sensé exister dans le désert de Gobi. Son nom, l’Olgoï-Khorkhoï, vient du mongole et signifie ver-intestin.
Cette créature de couleur rouge mesurant entre soixante centimètre et un mètre cinquante est souvent considéré comme un monstre folklorique mais pas comme une réalité. D’après certaines légende la terrible créature pourrait mesurer jusqu’à vingt mètres de long.
Certain témoins disent qu’il est capable de cracher de l’acide sulfurique ou bien de tuer à l’aide d’électricité. Il vivrait dans le sud de la Mongolie, il vivrait sous terre et aurait une activité surtout entre juin et août.
Les tribus nomades du Kazakhstan et de Mongolie ont rapportй des attaques de ces crйatures au Moyen Вge. Les voyageurs passaient souvent la nuit parmi les dunes de sable et йtaient attaquйs par des vers. Grвce а l’йnorme quantitй d’informations recueillies aux XIXe et XXe siиcles, il a йtй possible de dresser des portraits de ces mystйrieux cryptides.
Un explorateur tchèque, Ivan Mackerle, nous a laissé une description de l’animal comme étant un ver mesurant environ cinquante centimètres et de l’épaisseur d’un bras. Il semblerait difficile de savoir l’avant de l’arrière. La couleur de sa peau est foncé et de couleur rouge sang.
Il n’y a aucune image ni aucune
2016, une expédition conjointe de Mongolie, du Kazakhstan et de Russie dans le dйsert de Gobi a eu lieu. Les participants affirment que la nuit, ils ont vu quelque chose d’énorme ramper sous les sables. Le matin, un petit ver a essayé d’attaquer l’un des chameaux. Les scientifiques sont arrivé а temps pour sauver l’anomal. Ils ont coupé la créature avec une pelle. Le cadavre a été examiné dans un laboratoire d’Oulan-Bator.
Il s’est avéré que les échantillons n’appartiennent а aucune espèce biologique connue. La créature se compose de 85% de silicium et de cuivre. Au lieu du sang, le ver possédait de l’acide cyanhydrique ou hydrocyanique faiblement concentré.
Certaines personnes pensent que l’étrange ver pourrait avoir une origine extraterrestre. Si les résultats scientifiques s’avèrent exacte, on pourrait être devant une forme de vie à base de silicium. De nombreux scientifiques pensent que des formes de vies à base de silicium pourrait existé. Les propriétés du silicium et du carbon son proche et on pourrait voir des êtres à base de cet élément de la même façon que la vie sur terre est composé à base de carbon. Il s’agirait donc d’une première. Si l’information sur l’expédition de 2016 est exacte…
L’Olgoï-Khorkhoï (ver intestin, en mongol) est décrit comme un ver annelé de 60 à 90 cm, très épais, rouge (on le compare au salami), dont on ne distingue pas la tête de la queue faute de voir yeux, bouche, narines, ou oreilles.
Enfoui sous le sable du désert de Gobi, en Mongolie, il ne sort qu’au début de l’été. Les nomades mongols l’accusent de tuer hommes ou chameaux à coups de venin ou de décharge électrique.
Pour l’herpétologue (Specialiste des reptiles) belge Olivier Pauwells, c’est un serpent du genre Eryx. Mais pour le cryptozoologue tchèque Jaroslav Mares, c’est un animal inconnu appartenant au groupe des amphisbéniens, reptiles proches des lézards, privés de pattes, aux organes externes quasi invisibles. Ils creusent des galeries et progressent par ondulations horizontales et verticales, comme le rapporte un témoin pour l’Olgoï-Khorkhoï : « La creature se déplaçait de façon étrange – soit elle roulait, soit elle se déplacait latéralement ». Ils sont inoffensifs, mais le frottement sur le sol sec du désert pourrait leur conférer une charge électrique de plusieurs centaines de volts, capable de tuer quelqu’un.
Il n’existe pas d’amphisbénien connu en Asie centrale mais la découverte, en 1993, du plus ancien amphisbénien fossile en Chine du Nord, à la frontière avec la Mongolie, bien après le recueil de multiples témoignages sur l’olgoï-khorkhoï, rend l’hypothèse de Mares très plausible.
Max