Bill Ramsey, enfant était un enfant introverti. Adulte, il fut exorcisé, les histoires racontent qu’il s’agissait d’un Loup-garou…
William Ramsey était un enfant solitaire, il se sentait à part. C’est un samedi après-midi de 1952 qu’il se passa quelque chose dans l’esprit de Bill. Il senti un grand froid et il senti une horrible odeur. Il eu envie de s’enfuir vers une autre vie, vers l’océan et les loups. Au même moment, sa mère l’appela. Il fut pris d’une soudaine rage et arracha le poteau de la clôture qu’il avait près de lui et le jeta à quelques distances de là. Il prit le maillage du grillage et commença a le ronger. Il émit un étrange grondement. Ses parents le regardèrent effrayé et le laissèrent à l’extérieur le temps qu’il se calme.
Durant 15 ans, la vie de William sembla normal. Il se maria et eu trois enfants. Les deux premières années de son mariage ont cependant été en proie à des cauchemars. Chaque rêve était le même et les résultats ont également fini par être identiques. Ramsey se réveillait toujours dans une sueur froide et était submergé par des sentiments de peur et de malaise. Dans son rêve, il était toujours à quelques pas de sa femme, qui se tournait ensuite pour l’affronter et s’enfuit dans une terreur extrême. Ce n’est qu’en 1967 que ces rêves se sont terminés. 18 mois plus tard, et Bill s’est réveillé une nuit pour entendre ce qu’il pensait haleter d’un animal sauvage quelque part à l’intérieur de la chambre à coucher. Il avait raison. C’était Bill lui-même.
Durant à nouveau 15 ans, William ne ressenti plus rien. Mais, en 1983, alors qu’il était avec des amis dans un pub, ill a commencé à ressentir les mêmes frissons glacés qu’il avait ressenti autrefois. Il a trouvé une excuse et s’est dirigé vers les toilettes. Une fois là, il s’est regardé dans le miroir et a vu un Loup-Garou le regarder derrière lui.
En rentrant chez lui en voiture, et sans aucun avertissement, Bill a commencé à grogner et s’est immédiatement tourné vers son ami. Ses deux mains se sont tordues en griffes et Ramsey a essayé de mordre la jambe de son ami. Le conducteur n’a pas paniqué. Il a arrêté la voiture et a tenté de faire sortir Bill de l’arrière de la voiture. Il a encore fallu plusieurs minutes pour réussir à l’extraire de la voiture. William s’était finalement calmé.
Peueu avant Noël 1983, Bill commence à souffrir de douleurs thoraciques il pensa à crise cardiaque. Bill s’est rendu à l’hôpital. Il était à mi-chemin d’un examen de la tension artérielle lorsqu’il a coulé ses dents dans le bras de l’infirmière et a traversé la salle comme un homme possédé. Des témoins révéleraient plus tard que Bill avait courbé les épaules et que les deux mains s’étaient enroulées en griffes. Ses lèvres étaient retroussées comme celle d’un animal sauvage. Il semblait posséder une force surhumaine. Il a fallu pas mal de gens pour le calmer. Un policier a réussi à placer des menottes autour des poignets de Ramsey, mais cela n’était toujours pas suffisant. Un tranquillisant a finalement mis fin à l’explosion de rage.
Le lendemain, William sembla à nouveau normal. Le médecin demanda toutefois à ce qu’il soit surveiller. Tout semblait à nouveau tranquille et deux mois plus tard, on le renvoya chez lui. En janvier 1984, Bill venait de terminer une visite à sa mère lorsqu’il a commencé à sentir une attaque. Il s’est rendu au même hôpital aux mêmes conditions que sa visite précédente. Ramsey fut pris à nouveau de rage. Heureusement, ce jour-là il y avait quatre policiers sur place. Il réussir à le menotte. L’un des policiers fut toutefois gravement blessé.
William chercha une solution et pensa même à être hospitalisé dan une centre psychiatrique. Il perdait à chaque fois totalement le contrôle.
En été 1987, il fut arrêté après avoir agressé une prostituée. Au commissariat, lors de l’interrogatoire, l’officier a touché Ramsey, celui-ci fut pris de rage et agressa le policier. Il fallut deux injections de calmant pour qu’il s’arrête.
Durant les dix jours suivants, d’innombrables IRM, radiographies et tests psychiatriques n’ont pas pu déterminer ce qui n’allait pas avec Ramsey.
Les Warrens qui se trouvaient en Angleterre à ce moment-là, s’intéressèrent à cette affaire. Ils proposèrent à Bill un exorcisme avec l’aide de l’évêque Robert McKenna. La veille de l’exorcisme, William tenta d’étrangler sa femme durant son sommeil.
Durant la cérémonie, Bill a ensuite pris une apparence tout à fait différente, son visage contorsionné et les deux mains ont formé des griffes. McKenna a ordonné au démon de partir. L’homme se calma et, l’esprit du loup semble être partie définitivement.
Il semble que plus jamais William n’ait eu à souffrir de ce phénomène. Simple folie qui ait été guéri par l’exorcisme? Véritable cas de Loup-Garou? Difficile à dire…
Points principaux
La schizophrénie est un trouble mental grave dont sont atteintes environ 24 millions de personnes, soit une sur 300, dans le monde.
– La schizophrénie fait partie des psychoses, entraîne un handicap considérable et peut avoir des répercussions sur tous les domaines de la vie, y compris le fonctionnement personnel, familial, social, éducatif et professionnel.
– La stigmatisation, les discriminations et les violations des droits humains des schizophrènes sont courantes.
– Plus de deux personnes sur trois atteintes de psychose dans le monde ne bénéficient pas de soins de santé mentale spécialisés.
– Il existe plusieurs possibilités de prise en charge efficace de la schizophrénie et au moins un patient sur trois pourra se rétablir complètement.
Symptômes
La schizophrénie se caractérise par des troubles importants de la perception de la réalité et par des altérations du comportement liées :
– à un délire persistant : la personne croit fermement que quelque chose est vrai, malgré l’existence de preuves du contraire ;
– à des hallucinations persistantes : parfois, la personne entend, sent, voit, touche ou ressent des choses qui n’existent pas ;
– à une sensation d’influence, de contrôle ou de passivité : la personne est convaincue que ses sentiments, ses impulsions, ses actions ou ses pensées viennent de l’extérieur, lui sont imposés ou retirés par autrui, ou que ses pensées sont transmises à autrui ;
– à une désorganisation de la pensée, qui se manifeste souvent par un discours confus ou non pertinent ;
– à une désorganisation extrême du comportement, par exemple la personne semble se comporter bizarrement ou de façon absurde, ou a des réactions émotionnelles imprévisibles ou inadaptées qui l’empêchent d’avoir un comportement adéquat ;
– aux « symptômes négatifs » (appauvrissement marqué de l’expression orale, émoussement affectif, incapacité à éprouver de l’intérêt ou du plaisir et retrait social) ; et/ou
– agitation extrême ou ralentissement psychomoteur, adoption de postures inhabituelles.
Au moins un tiers des personnes atteintes de schizophrénie connaissent une rémission complète des symptômes. Chez certaines autres, on observe une aggravation et une rémission périodiques des symptômes tout au long de la vie tandis que chez d’autres encore, les symptômes s’aggravent progressivement au fil du temps.
La lycanthropie clinique, une maladie dans laquelle le patient se croit transformé en loup, peut être considérée comme une forme de schizophrénie.
Max