Cette affaire remonte aux années 1970, Dionisio Llanca était un chauffeur de camion en Argentine. Le 27 octobre 1973 il a été enlevé par trois créatures humanoïdes…
Ce soir-là, après avoir dîné avec son oncle Enrique Ruiz, il est monté dans son camion.
Il avait des marchandises à livré et il a quitté sa maison vers minuit et demi le dimanche. Il remarqué que quelque chose n’allait pas au pneu arrière droit du véhicule, mais a décidé de laisser le problème pour plus tard. Il a ensuite poursuivi son voyage. Finalement le pneu est devenu trop dégonflé et il s’est arrêté afin de procédé à son remplacement.
Il est sorti du camion et il a commencé à changer le pneu. Tout à coup, la route a été éclairée par une lumière jaune intense qui semblait être distante d’environ 2 000 mètres. La lumière s’est rapprochée du chauffeur jusqu’à devenir aveuglante. Elle est devenue très proche et d’un bleu très intense. En regardant d’où venait la lumière, il a vu un objet ressemblant à un plat dans le ciel qui volait à environ sept mètres de haut.
Il put voir trois personnes qui le regardaient. Il a tenté de se lever mais il était totalement paralysé. Il y avait deux hommes et une femme. Il pense que c’était une femme car elle avait une poitrine et de longs cheveux. Ils portaient une combinaisons grises fumées d’une seule pièce bien ajustée à la figure, bottes jaunes et gants longs atteignant le milieu du bras de la même couleur. Ils n’avaient pas de ceinture, ni d’armes, ni de casques ni rien d’autre. Ils étaient très proche de nous, mais leur front était plus haut et les yeux allongés et inclinés. Ils communiquaient dans une langue inconnue.
L’un des hommes a saisie le témoin et l’a soulevé. Le chauffeur à voulu parler mais c’était impossible. L’autre a mis un appareil à la base de mon index sur la main gauche. Ils ont récupéré quelques gouttes de sang. Le témoin s’est ensuite évanoui.
Il était vers 3 heures du matin ce dimanche-là lorsque Dionisio s’est réveillé entre deux voitures dans la cour arrière de la Sociedad Rural Bahia Blanca, à environ 9 kilomètres de l’endroit où il a rencontré les étranges humanoïdes. Il souffrait d’amnésie temporaire et n’a pu se souvenir d’aucun aspect lié à son expérience.
Il n’a pas recouvré la mémoire automatiquement. Il souffrait de cauchemar et se réveillait en pleur. Finalement avec des séances d’hypnose il réussit à se souvenir de son expérience traumatisante. Il se rappela de d’autres détails. Comme le fait qu’il a été emmené dans l’appareil afin de recevoir des examens.
Afin de corroborer cette histoire des ufologues ont fait des recherches. Le dimanche 28 octobre 1973, entre 2 h et 3 h, il y a eu une augmentation inexpliquée de la consommation d’électricité, reliant ce rapport officiel à celui de Dionisio Llanca.
Cette histoire offre de nombreuses preuves qui permettent d’authentifier le témoignage. Les histoires d’enlèvement n’était pas très fréquente à l’époque et il est peu probable qu’il ait pu s’inspirer d’autres histoires de ce type…
L’enlèvement présumé du chauffeur de camion Dionisio Llanca est sans aucun doute le plus célèbre des cas d’enlèvement signalés en Argentine, non seulement en raison de ses caractéristiques, mais aussi du retentissement qu’il a eu dans les médias et, fondamentalement, dans certaines publications spécialisées en Argentine et à l’étranger.
La présente note vise à apporter une nouvelle contribution à l’enquête sur le prétendu incident, qui se traduit par la reproduction d’une partie du rapport médical du Dr. H. Eduardo Solari, résultat d’une série d’études auxquelles Dionisio Llanca a été opportunément soumis, études incluses dans ce qui a été appelé « Operative Villa Bordeu », réalisée par l’ONIFE, sous la direction de Fabio Zerpa.
Le rapport a été fourni par l’ufologue Rubén Omar Morales, et tend à préciser la personnalité du témoin et conforte l’hypothèse de la fraude, ou du moins le disqualifie en tant que témoin fiable.
NOM : Dionisio Llanca
ADRESSE : San Martín 787 – Ing. Jacobacci, R. Negro
ÉTAT CIVIL : célibataire
AGE : 25 ans
DATE DE NAISSANCE : 17 octobre 1948
Je vous fait grâce des nombreux tests effectués sur le sujet ainsi que de leurs diagnostics pour arriver directement aux conclusions.
CONCLUSIONS :
Les tests psychométriques et projectifs confirment ce qui a été estimé lors de l’entretien clinique, D. LIanca présente une personnalité de type épileptique, avec certains traits hystériques.
Ses mécanismes de défense, quelque peu stéréotypés, sont le déni et la répression.
D. LIanca est dans un cercle vicieux d’insécurité et de peur, qui alimente à son tour son agressivité et son hostilité envers sa famille et ses amis, son agressivité et son hostilité envers l’environnement, l’empêchant d’établir de bonnes relations interpersonnelles.
Il serait ainsi plus facile, au niveau des soins, d’entreprendre une thérapie pharmacologique et psychothérapeutique appropriée.
En ce qui concerne l’enquête sur l’événement de Bahía Blanca, sans mettre en doute ou non ce que D. LIanca a dit, à mon avis le témoin n’est pas un témoin compétent.
Dr. HECTOR A. SOLARI
Psychologue clinique
(Enregistrement N. 245) Buenos Aires, 19 août 1974
Max
J’aime bien lire ces histoires, mais je les trouve toujours absurdes.
Dans cette histoire, il y a une femelle avec de la poitrine et des cheveux longs, parce qu’une femelle ça ne peut être que comme ça…
Dans les autres histoires il y a toujours des détails tout aussi absurdes : ils respirent notre air sans problème, ils accordent les mêmes sens que nous aux ochements de tête, aux sourirs, aux saluts de la main….
Les extraterrestres humanoïdes ça vient du manque d’imagination des auteurs de science fiction, pour qui un extraterrestre ça ne pouvait être qu’un humain plus évolué. C’est apparu étape par étape. Au début un extraterrestre de BD ou de cinema c’était juste un humain avec des pouvoirs. Pensez à Superman. Plus tard, une plus grosse tête pour montrer qu’il est plus intelligent. Plus tard, un corp petit et frêle pour dire qu’il est tellement intelligent qu’il n’a plus besoin de muscles. Plus tard, une peau grisatre et des gros yeux pour dire qu’il vit dans l’obscurité car ça fait plus peur que de vivre au soleil, et ça lui donne un petit côté insecte. Et voilà.
Aussi, c’est toujours bon de le rappeler : contrairement à l’idée reçue et à ce qu’on voit dans les films, en réalité l’hypnose ne permet PAS au sujet de se rappeler d’une chose oubliée mais lui fait plutôt vivre un rêve qui lui semble réel et qui est guidé par les questions qui sont posées.