Cette curieuse affaire se déroule en juillet 2025, un habitant de la région de San Bernardo en Argentine aurait vu un étonnant Bigfoot près de la ville.
Le soleil venait à peine de dissiper les dernières brumes matinales lorsque Tito et son ami entamèrent la descente de la colline San Bernardo, un massif connu autant pour son panorama spectaculaire sur la ville que pour son atmosphère étrange. Ce jour-là, leur but était simple : vérifier si la neige était tombée sur les hauteurs.
« En redescendant, on a entendu un bruit étrange dans les arbres », raconte Tito, les traits tirés par l’émotion. Ce bruit ? Un craquement, un froissement, comme si une masse importante s’était déplacée dans les branchages. L’instant d’après, ce fut l’apparition.
« Soudain, on a vu quelque chose de grand, poilu, et courbé », se remémore-t-il. « Ce n’était pas une personne. »
Tito parvint à dégainer son téléphone pour capturer une image de l’entité. Une photographie qui, étrangement, n’a pas été rendue publique — ni par les médias locaux, ni par les témoins eux-mêmes. Toutefois, l’image a été montrée à sa grand-mère. Sa réaction ? Sans appel : « C’est l’Ucumar. »
’Ucumar — aussi appelé Ucumari — est une créature légendaire que les autochtones décrivent depuis des générations. Il s’agirait d’un être humanoïde, couvert de poils sombres, de taille imposante, et vivant dans les régions reculées du nord-ouest argentin. Certains chercheurs en cryptozoologie le rapprochent du célèbre Bigfoot nord-américain ou du Yéti himalayen, ce qui alimente un vaste pan de théories transcontinentales sur l’existence de grands hominidés inconnus.
La légende de l’Ucumar n’est pas nouvelle. Depuis les années 1950, des récits épars mentionnent des créatures simiesques rôdant dans les régions montagneuses de Salta et Jujuy. En juin dernier déjà, une famille avait filmé une silhouette étrange courant dans un champ, non loin de la même région.
Sans le cliché, difficile de se faire un avis. Il n’y a que le témoignage, et même une photo n’est pas forcément une preuve… On ne peut qu’attendre d’avoir la photo ou d’en savoir un peu plus…
