En 2014, des chercheurs russes auraient été attaqué par une mystérieuse créature d’origine inconnue. Depuis, une récente publication nous donne plus d’informations…
Il y a quelques temps une étrange information affirmait qu’un robot sous-marin avait été attaqué par une mystérieux monstre aquatique. https://mysterium-incognita.com/2018/02/01/letonnante-attaque-doceanographes-par-un-monstre-marin/
Cette affaire est lié à une expédition qui a commencé à février 2012. Les scientifiques s’étaient rendu en Antarctique afin d’effectuer des forages dans le lac Vostok. Ce lac d’eau douce, recouvert par la glace n’a pas été en contact avec la surface depuis plus de 15 millions d’années. Les chercheurs espéraient découvrir des espèces encore inconnues et ils n’ont pas été déçu…
Sergey Bulat, le responsable des recherches, explique que l’eau est saturée en oxygène et dépasse de dix à vingt fois celle d’autres parties de l’atmosphère. Auparavant, des créatures extrêmement étranges avaient été trouvées dans les évents d’eau profonde au large des côtes de l’Antarctique. La grande quantité d’oxygène peut provoquer un gigantisme de certains animaux.
Juste au moment où l’équipe de huit hommes approchait du lac, toute communication avec le monde extérieur a mystérieusement cessé. Alors que les jours passaient et que les chercheurs n’avaient pas répondu aux efforts frénétiques croissants pour les atteindre par radio, d’autres scientifiques du monde entier craignaient le pire.
Durant cinq jours, ce fut le silence radio. Le Dr Padalka affirme qu’au cours de cette période, lui et ses collègues se battaient pour leur vie dans le monde perdu profondément sous la surface de la terre. « Nous avons rencontré l’organisme 46-B le premier jour alors que nous effectuions une plongée préliminaire dans nos combinaisons de plongée à basse température », raconte-t-il. « Cela a désactivé notre radio, que nous avons apprise plus tard à notre alarme, était intentionnel. »
L’étrange animal possédait 14 bras alors qu’habituellement les céphalopodes n’en possèdent que 8. En plus du bec et de ses ventouses, la créature était capable de projeter un venin afin de paralyser ses proies. Cet animal mesure environ dix mètres de long et possède la capacité de se camoufler comme le fond certains calamar.
Elle possède une sorte de sac de venin similaire à celui pour produire de l’encre. D’après le témoignage du Dr Padlaka, le Dr. Vindogradov a été tué de cette façon. Il se trouvait sous l’eau quand l’organisme s’est rapproché de lui. L’étrange créature aurait utilisé son venin pour le paralyser et il a utiliser ses tentacules munies de ventouses pour lui arracher la tête.
La créature, en plus de sa capacité à changer de couleur, semble aussi arrivé à modifier sa forme ou essayer d’imiter son environnement ou une créature à proximité.
Un autre scientifique aurait été tué par un des tentacules.
Après que les cinq scientifiques survivants ont remonté à la surface, le directeur du programme a ordonné que le trou de forage soit immédiatement bouché. Les géologues s’attendaient à être honorés à l’échelle internationale pour leur découverte étonnante. À leur grande déception, le gouvernement russe a affirmé que l’équipe n’avait trouvé aucune vie dans le lac Vostok. Il a nié que des plongeurs soient même entrés dans l’eau.
Depuis il semble que le sujet ait été censuré par le gouvernement Russe. Reste à savoir si les témoignages sur cette curieuse affaire reste fiable…
On se croirait presque devant l’histoire des Montagnes Hallucinés de Lovecraft…
Toute cette histoire est de la pure fiction.
Le lac Vostok est le plus grand des lacs subglaciaires de l’Antarctique.
Il se situe en dessous de la station soviétique puis russe de Vostok, dont la surface de l’inlandsis se situe à cet endroit à 3 488 m d’altitude. La surface de ce lac d’eau douce est à approximativement 4 000 m en dessous de la surface de la glace, ce qui la place à approximativement 500 m en dessous du niveau de la mer.
La plupart des scientifiques pensent que l’écosystème probable pourrait être lui-même très différent de la vie ailleurs à la surface de la Terre du fait :
– des conditions particulières qui y règnent : température basse (−3 °C), pression élevée, environ 360 bars, absence de lumière, grande quantité de gaz dissous (milieu très oxygéné) ;
– du long isolement écologique lié à la grande stabilité du manteau glaciaire.
La température moyenne en surface se situe autour de −55 °C.
Les 4 km de glace le surplombant procurent un enregistrement climatique continu de 400 000 ans.
Le forage effectué sur le site consiste à prélever des carottes de glace comme celle-ci :
https://charybde2.files.wordpress.com/2015/12/jerome_chappellaz_dsc_1327.jpg?w=457&h=327&zoom=2
En 1989, une équipe soviétique commence le forage de la glace afin d’étudier l’air emprisonné, ils ont atteint le lac le 5 février 2012.
Selon Valeri Loukine (chef de l’expédition), le fluide de forage a été expulsé sous la pression d’eau du lac qui serait remontée dans le puits sur environ 40 mètres, évitant toute contamination du lac lui-même.
Une étude publiée en juillet 2013 fait état de la découverte de l’ADN de 3 507 organismes différents dans des carottes de glace prélevées en 1990 et dont l’âge serait situé entre 5 000 et 10 000 ans mais l’hypothèse d’une contamination n’est pas totalement exclue.
Maintenant croyez vous que l’on puisse creuser un trou, de 4000m de profondeur, suffisamment grand pour y descendre des hommes et leur matériel avec à l’arrivée 360 bars de pression.
Rien que cette hypothèse donne à réfléchir.
Max
Merci de ton retour. Ca me fait penser à l’histoire du forage et des voix venant de l’enfer…
^^
Je me souviens avoir entendu cette histoire il y a plusieurs années mais dans une version exagérée, ça disait notamment que la pieuvre géante leur avait parlé par télépathie et je m’étais demandé : « Comment aurait-elle appris à parler leur langue si c’est son premier contact avec des humains ??? ».