L’histoire raconte que le diamant Orlov, une gemme de 195 carats de couleur noir, aurait été prélevé d’une statue du Dieu Brahma, un de ses yeux. Ce joyau serait réputé comme étant maudit…
La légende raconte que l’œil aurait été volé par un moine, personne ne sait exactement ce qui a pu se passer, mais depuis les morts liés à ce joyau sont nombreux.
C’est en 1932 que la série semble commencer. Un certain J.W. Paris, un diamantaire, aurait importé la pierre précieuse en Amérique. Après avoir vendu la gemme, il s’est suicidé en se jetant dans le vide.
En 1947, la princesse Nadia Vyegin-Orlov une ancienne propriétaire de l’Orlov noir, aurait sauté du haut d’un bâtiment de la ville de Rome. Elle aussi se serait suicidé.
Après plusieurs décès mystérieux qui sont arrivés à d’anciens propriétaires, le diamant a été retaillé en trois pierres précieuses distinctes dans le but de briser la malédiction. Depuis, les nouveaux propriétaires privés semblent avoir échappé à la malédiction. Maintenant, il ne pèse que 67,50 carats.
Dennis Petimezas, l’actuel propriétaire du diamant Black Orlov, a déclaré : « Au milieu du XXe siècle, les médias l’ont baptisé la « Gemme maléfique de la mort », mais je ne me suis jamais senti nerveux à l’idée de posséder l’Orlov noir. »
Rien ne permet de savoir l’origine de cette malédiction. Ce n’est pas le premier bijou maudit et le fait qu’il ait été volé et qu’une statue sacrée ait été profanée pourrait être la cause de ces tourments. Peut être que le fait d’avoir divisé la pierre a supprimé la malédiction. Dans le cas contraire, il faudra peut être songer à la rendre à son dieu…
L’ oeil de Brahma, son autre nom, a fait énormément de victimes et mérite amplement son nom de diamant maudit.
Sa véritable histoire est passionnante et pose une réelle question : Objets inanimés avez vous donc une âme ?
Ce n’est pas de moi mais d’Alphonse de Lamartine
Selon la légende, le fabuleux diamant connu sous le nom de diamant de l’Espoir, qui ornait jadis une idole indienne, aurait été dérobé par un prêtre hindou.
On raconte que le pauvre prêtre aurait été torturé et mis à mort pour son crime.
La pierre précieuse, réapparut en Europe en 1642 entre les mains d’un contrebandier français du nom de Jean-Baptiste Tefernier.
Il la vendit avec d’énormes bénéfices mais laissa son fils prodigue dépenser le plus gros de sa fortune.
Il devait finir déchiqueté par des chiens enragés aux Indes, où il était parti refaire fortune.
La pierre entra ensuite en possession de Louis XIV qui la fit tailler à nouveau, la ramenant ainsi de 112,5 carats à 67,5 carats.
Cette réduction ne lui ôta pas son sort maléfique.
Nicolas Fouquet, qui l’avait emprunté pour un dîner officiel, fut reconnu coupable de détournement de fonds et emprisonné à vie.
Il mourut dans sa prison.
La princesse de Lamballe, qui portait souvent le diamant, tomba plus tard sous les coups d’une foule parisienne enragée.
Le roi lui-même mourut ruiné et politiquement affaibli, son royaume épuisé.
Louis XVI et Marie-Antoinette qui héritèrent ensuite du diamant finirent leurs jours sous le couperet de la guillotine pendant la révolution française.
En 1830, le bijou, désormais historique, fut acheté par un banquier londonien du nom de Henry Thomas Hope, qui le paya 150.000 dollars.
Il connut rapidement des revers de fortune et l’un de ses petits-fils devait mourir ruiné.
Un de ses derniers héritiers se débarrassa enfin du bijou en le vendant.
Puis, pendant seize ans, la pierre maléfique passa de main en main en continuant de foudroyer ses différents propriétaires.
Le Français Jacques Colet se suicida, le prince russe Ivan Kanitovitch mourut assassiné.
En 1908, le sultan turc Abdul Hamid paya 400.000 dollars pour le diamant, qu’il s’empressa d’offrir à sa concubine préférée, Subaya.
Il fut renversé.
Ce fut Simon Montharides qui en devint ensuite propriétaire.
Sa voiture se retourna, le tuant sur le coup en même temps que sa femme et sa petite fille.
Le diamant traversa ensuite l’Atlantique et tomba entre les mains du magnat de la finance Ned Mc Lean qui l’acheta pour la somme dérisoire de 154.000 dollars.
Son fils Vincent se tua peu de temps après dans un accident de voiture et sa fille mourut d’une overdose.
La femme de Mc Lean s’adonna à l’héroïne et lui-même finit ses jours dans un asile.
Il mourut en 1947, laissant le douteux héritage à ses petits-enfants, dont la petite Evalyn, âgée de cinq ans.
Deux ans plus tard, la famille Mc Lean vendit le diamant à Harry Winston, un marchand de pierres précieuses. Winston en fit don au Smithsonian Institute où il se trouve encore.
Pendant ce temps, la malédiction frappa encore la famille et on retrouva Evalyn Mc Lean, morte dans son appartement de Dallas le 13 décembre 1967.
Elle avait 25 ans et l’on n’a jamais su la cause réelle de son décès.
Aujourd’hui, l’une des trois pierres précieuses fait partie d’une broche composée de 108 diamants, elle-même suspendue à un collier composé de 124 diamants.
Le collier voyage autour du monde afin d’être exposé au sein de différents musées et personne ne semble nerveux à l’idée d’être en sa possession, puisqu’aucun incident tragique n’a eu lieu depuis plus d’un demi-siècle, période où le diamant a été brisé.
Si d’aventure vous désirez offrir un diamant à votre concubine réfléchissez y à deux fois mais surtout renseignez vous sur sa provenance.
Max