C’est en 1851 que J.P. Manrow a fait construire sa maison sur Russian Hill à San Francisco. En plus de sa famille, il semble que la maison était habitée par des esprits…

Manrow était un ingénieur civil qui avait gagner beaucoup d’argent dans l’immobilier en Californie. Il avait acquis suffisamment d’argent pour s’offrir la maison de ses rêves. Mais quelques temps après que lui et sa famille se soit installé, des événements étranges ont commencés à se produire.

Des objets ont commencé à voler à travers les pièces. Dans certains cas, ils disparaissaient ou se trouvait à un autre endroit. La nuit, des sons étranges étaient entendu. Ces bruits semblaient venir de l’intérieur des murs.

Il semble que ce soit la mère de la famille qui était le plus souvent la victime. Une fois, en rentrant de faire des courses, elle déposa ses achats. Elle se détourna et revint et découvrir que les sacs avaient disparu. Elle les retrouva dans un endroit éloigné de la maison. 

Durant des années les manifestations se produisirent. Finalement, en 1856, Manrow commença a parler de ces soucis à des amis. Les hommes ont pensé que ce serait une bonne idée d’enquêter. Ils ont décidé de tenir une séance de spiritisme chez Manrow en présence de leurs épouses. A l’époque, le spiritisme était à la mode et cela semblait être une possibilité pour découvrir qui venait hanter la famille. La table a lévité. Des objets ont été déplacés autour de la pièce. Tout le monde a été pincé et s’est fait tirer les cheveux. La sonnette a sonné toute seule. Le plus effrayant de tous a été l’apparition d’une apparition d’apparence démoniaque à l’extérieur de la maison. L’horrible silhouette les regardait par une fenêtre. 

Deux autres séances de spiritisme furent menées. Ils essayèrent de demander à de bons esprits de venir chasser les mauvais. Mais en vain. 

Un journal local a surnommé la maison de Manrow la « Maison des démons », en donnant une description des plus terrifiantes : « Si tous les démons de l’enfer avaient combiné leurs traits en un chef-d’œuvre de laideur et d’une hideuse révoltante du visage, ils n’auraient pas pu produire un visage aussi plein d’horreurs. Il faisait plus noir que la nuit la plus noire qui ait jamais froncé les sourcils dans l’obscurité sans étoile au-dessus de l’océan balayé par la tempête. »

La famille resta encore quelques temps avant de quitter les lieux. Depuis La ais on a été détruite. Personne ne connaît la raison de ces manifestations paranormales. La maison était neuve et rien ne permet de savoir si le lieu avait eu au paravent une activité surnaturelle. Est-ce que l’activité était lié à un des enfants comme dans de nombreux cas de poltergeist? Difficile à dire…