C’est en 1993 qu’une série d’événements inexpliqués s’est déroulé chez un couple habitant dans la ville d’Arc-Wattripont en Belgique…

Près de Tournai se trouve le petit village d’Arc-Wattripont. Dans celui-ci vit une famille composée des deux parents, de leurs deux fils et de leur fille. Le 13 décembre 1992, suite à des problèmes familiaux, le petit ami de leur fille s’installe avec eux. Le jeune homme, prénommé Eric, est au chômage, mais ne semble pas poser de problème particulier.

Début 1993, des phénomènes étranges commencent à se produire. Des objets volent dans les pièces au point que le 5 janvier vers 22 h 30, le père de famille contact les gendarmes. Les événements étaient devenus insupportables.

En arrivant sur place, les gendarmes sont étonnés de voir que le propriétaire de la maison porte un casque de chantier à causes des objets qui sont projetés à travers la maison. Si, au départ, les forces de l’ordre se montrent sceptiques, ils vont rapidement être témoin des manifestations paranormales qui se déroulent dans la maison. L’activité est telle qu’ils vont demander des renforts et rester deux nuits sur place afin d’effectuer une enquête plus approfondie.

Les gendarmes seront témoins de déplacement et chute d’objets. Une table se déplacera devant l’un des militaires alors qu’il était seul dans la pièce. Un pot à lait sera projeté au plafond avant de tomber en faisant un mouvement qui ne semblait pas naturel. Un pied de lit sera défoncé par un large trou et il s’agrandira sans aucune intervention. Le lit sur lequel le petit ami de la fille se trouvait se soulèvera d’une trentaine de centimètres durant plusieurs secondes.

Plus d’une dizaine de représentants des forces de l’ordre et de policiers seront témoins des activités qui ont tout de manifestation provenant d’un poltergeist. Une vidéo du jeune homme sur le lit en train de léviter avait été filmée par un des policiers. Rapidement, les média s’emparèrent de cette affaire. Ils eurent tendance à amplifier l’affaire et commencèrent à parler d’intervention de journaliste et d’illusionniste qui servait venu étudier l’affaire. L’ampleur était telle que le procureur du roi interdit aux forces de l’ordre de parler de l’affaire et la vidéo fut mise sous scellée. Finalement, les journalistes commencèrent à dire que tout ceci n’est qu’une supercherie.

D’après les témoins, le centre de l’activité était lié à Eric. Comme souvent, la présence d’un adolescent ou d’un jeune adulte est souvent lié à l’activité des poltergeist. Un exorcisme fut pratiqué sur lui, mais le phénomène ne s’arrêta définitivement que lorsqu’il quitta les lieux.

Une étude de 2015 par un groupe de spécialiste en paranormal, le CERPI, conclut que le témoignage des policiers et gendarmes était fiable. Que les deux nuits que les gendarmes ont passé et leur rapport permet de dire qu’il y a bien eu une activité inexpliqué dans la maison…