En 2016, une étude a été faite pas des anthropologistes sur des traces de mains qui ont été découvertes dans une grotte. Ces empreintes datent d’environ huit mille ans et décorent les murs. On voit sur les photos des dizaines de formes de main ainsi que des représentations d’êtres humains ainsi que des créatures plus étranges ressemblant à des sortes d’hybride homme/animal. On y voit aussi des animaux, et même des entités sans tête.

La grotte a été découverte en 2002 à l’est du Sahara. On y voit aussi des animaux, et même des entités sans tête. Si dans un premier temps, les experts ont pensé que celle-ci avait pu être faite par des enfants, une archéologue, Emmanuelle Honoré de l’institut de recherche Archéologique de McDonald a pris des mesures et a analysé les formes afin de déterminer l’origine de ces empreintes. D’après ses conclusions qu’elle a publiées dans le magazine scientifique « Journal of Archéological Science » les formes de main que l’on peut voir ne sont pas d’origine humaine.

L’archéologue a étudié la forme et la taille de ces traces afin d’identifier leurs origines. Il ne s’agit pas marque de main de nouveau-né, les doigts sont trop longs. Pour elle, il pourrait s’agir d’empreinte qui pourrait appartenir à des primates ou éventuellement à celle de lézard ou de crocodile.

Rapidement, la communauté de croyant dans les anciens astronomes a repris l’affaire en disant qu’il pourrait s’agir de trace des reptiliens (mais alors tout petit, ceux-là). Pour d’autres, les dessins que l’on voit sur les murs pourraient montrer que les anciens Égyptiens avaient cohabité avec des entités biologiques extraterrestres et qu’il est possible qu’il y ait eu des hybrides que l’on peut voir en dessins, ceux étant mi-homme mi-animal.

Si les traces de mains ne sont pas humaines comme l’a expliqué l’archéologue, il est possible que les anciens habitants aient coupé les pattes de proies et en aient fait des représentations sur les murs. Même si les dessins sont troublants, sans avoir de reste d’humain/extraterrestre difficile d’affirmer que ces traces aient appartenu à ces hybrides. Si les traces de mains ne sont pas humaines comme l’a expliqué l’archéologue, il est possible que les anciens habitants aient coupé les pattes de proies et en aient fait des représentations sur les murs.