L’histoire de cette bien étrange affaire commence en 1954, cette année là plusieurs documents racontent que se trouveraient en orbite un satellite artificiel dont l’origine reste inconnue. Les sources de ces informations sont assez confuses, mais le gouvernement américain semble avoir été au courant de cette information. Il semble que des transmissions sonores ont été émis de l’objet et ont été reçu un peu partout dans le monde, la langue utilisée est totalement incompréhensible. C’est à ce moment qu’on a donné son nom a cet objet, le Black Knight…

C’est en février 1960 que la présence de ce satellite semble se confirmé, en effet, l’US Navy détecte ce qui est décrit comme un satellite artificiel d’origine inconnue de couleur sombre se trouvant très proche de l’atmosphère terrestre. Après vérification la Navy aurait conclu que cette objet n’était ni américain ni soviétique.

C’est en 1998 que des photos de l’objet ont été prises à bord de la station internationale :

http://eol.jsc.nasa.gov/scripts/sseop/photo.pl?mission=STS088&roll=724&frame=65

http://eol.jsc.nasa.gov/scripts/sseop/photo.pl?mission=STS088&roll=724&frame=66

http://eol.jsc.nasa.gov/scripts/sseop/photo.pl?mission=STS088&roll=724&frame=68

http://eol.jsc.nasa.gov/scripts/sseop/photo.pl?mission=STS088&roll=724&frame=69

http://eol.jsc.nasa.gov/scripts/sseop/photo.pl?mission=STS088&roll=724&frame=70

Cette histoire a été recoupé avec un fait plus ancien, en effet en 1899 Nicolas Tesla aurait capté un signal qui semblait ne pas provenir de la terre, en suivant les informations du scientifique dans les années vingt des opérateurs radio auraient eux aussi détecté ce fameux signal…

Les photos prisent par la NASA ont été étudiées et l’organisme américain a indiqué que l’objet en question n’est qu’un simple débris spatiale. Fait étrange depuis plus aucune transmission n’a été reçu provenant d’un objet en orbite proche.

L’objet sur les photos est-il simplement un débris ? A-t-il un rapport avec les étranges messages reçu en 1899, 1920 et 1954 ? Difficile de savoir, il reste que cette affaire continue à faire parler d’elle…