Nous sommes en 1995 lorsque Alexandre Chuvyrov et Huan Hun partirent tous deux pour étudier les migrations de peuplement en Sibérie.

Leurs études menèrent bon train lorsque tous deux découvrirent des documents parlant de très anciens blocs de pierre sculptés de façon totalement inhabituels. En effet, des expéditions effectuées dans l’Oural auraient permis de mettre au jour environ deux cents de ces pierres gravées. Ces blocs de roches seraient de grande taille et gravés. Hélas, les deux hommes ne découvrirent aucune de ces pierres gravées.

Mais, en 1999, un ancien président de l’agriculture local affirma à Chuvyrov qu’une de ces pierres se trouvait dans son jardin. Rapidement, le chercheur engagea des travaux d’excavation afin de récupérer ce bloc… Et en effet, il était là… 1m48 sur 1m06, presque une tonne de roche et dessus se trouvait bien une inscription…

En fait, la pierre semble composée de trois couches, une de dolomite, une de diopside et une de porcelaine.

Il semble bien que la pierre soit gravée par des instruments, avec les analyses aux rayons X, on peut voir qu’un outil a travaillé ce bloc.

Ce rocher semble représenter une sorte de vue aérienne précise d’une région de l’Oural, avec ses dénivelés et ces rivières. Il y a aussi des inscriptions qui n’ont toujours pas été déchiffrées et qui pourraient être apparentées a du chinois. Il semble que la carte daterait d’environ 3 000 ans, même si on retrouve des fossiles sur le bloc de 120 millions d’années, il est plus probable que le bloc n’ait que
3 000 ans. Pourtant, le chercheur pense que cette « carte » serait de cette époque.

Des études vont être menées plus en avant, mais les résultats n’arriveront pas avant 2010. Personne ne sait qui a conçu ce bloc. Étrangement il n’y a aucune trace des deux cents autres blocs. Difficile de savoir le fin mot de l’histoire, sauf si les études montrent la véracité ou si l’on trouve d’autres blocs..