Un cas assez connu de créature monstrueuse nous vient d’Europe, des Alpes suisses, Autrichiennes et Bavaroises pour être plus exacte. La légende est assez ancienne et l’on parle couramment d’une sorte de dragon, une sorte de ver monstrueux qui est appelé dans la région Tatzelwurm (littéralement en vieil Allemand « ver à pattes »).
Cette créature légendaire ressemble à un très très gros lézard, et possède une ou deux paires de pattes. Il serait blanc ou noir et à l’instar des salamandres pourraient posséder des tâches orange. Pour certain, il aurait des dents énormes et pourrait avoir une tête en forme de celle d’un chat. Elle aurait des écailles et une tête plutôt ronde, elle ne posséderait pas de cou, les pattes seraient assez boudinées et n’auraient que trois orteils. La créature posséderait une langue fourchue un peu comme les serpents auxquels elle ressemble beaucoup.
Il existe de nombreux témoignages qui ont été retranscrits.

Certains ont vu une créature d’environ trente centimètres, assez épaisse. Cet animal serait semblable à un lézard avec seulement deux pattes avants, et une queue assez courte, il serait de couleur brun verdatre. Pour d’autre, la créature mesure entre soixante et quatre-vingts centimètres, avec une tête en forme de chat, le corps serait assez épais.

Dans la plupart des témoignages, la créature semble agressive et n’hésiterait pas à attaquer ses observateurs.

En 1934, on eut droit un canular, le photographe Balkin aurait pris un cliché de l’animal, mais après analyse, il ne s’agit que d’une supercherie. Il ne s’agirait que de la photographie d’un poisson en porcelaine.

Mais même si on a eut aucun preuve scientifique, certain comme le chercheur Samuel Studer affirmait en 1814 qu’il existait bien un monstre dans la région de la gorge de l’Aar. Cette région qui fut longtemps très peu explorée pourrait être un des habitats de ce monstre. Cette gorge assez profonde fait dans les deux cents mètres de profondeur et environ un kilomètre et demi de long, elle est resté très longtemps inaccessible.

Même si on a aucune preuve, les nombreux témoignages pourraient faire penser à des formes de lézard, tel le héloderme qui avait été émis en hypothèse par Jakob Nicolussi en 1933. On pourrait aussi avoir affaire un à batracien, mais sa langue n’est pas celle d’un batracien, mais celle d’un lézard, de même, il pourrait s’agir d’une sorte d’espèce de salamandre géante… L’étrangeté de cette créature vient surtout de ses uniques deux pattes avant qui reviennent dans nombre de témoignages.